

Qui a la nostalgie des disquaires ?
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Qui a la nostalgie des disquaires ?
« C’était vraiment gai d’aller chez les disquaires », s’exclame le 15 mars 2018 une animatrice de Nostalgie Belgique dans un podcast de Brice Depasse, rendant hommage aux passeurs de disques et d’émotions sur vinyles. Merci, Brice !
La Nostalgie selon Brice Depasse
La nostalgie n’est pas un vilain défaut, doit sûrement penser Brice Depasse.
Ce cador de la radio Nostalgie Belgique nous replonge dans notre vie d’avant. Quand la musique allait moins fort (?), quand elle était bonne (euh, euh)… Et surtout quand on allait dans un magasin pour l’acheter. Les anciens s’en souviennent.
Un disquaire londonien, en 2017
Notre chantre radiophonique (*) a écrit un texte à la gloire des disquaires, passés, existants et futurs puisque, qui l’ignore, ce métier presque disparu revient à la mode.
Brice cite notamment la Maison Lesire, dont je parlerai ici ainsi que la Boîte à disques de Marie (dite Mimi, ma maman quoi, à qui je dédie cette Créative Room).
Un magasin de disques à Anderlecht
Brice cite bien sûr aussi les enseignes légendaires. Par contre, il a oublié un disquaire d’Anderlecht qui a tout donné pour ses clients : déniché le disque introuvable, conseillé, faire écouter, partagé sa passion.
En grande partie pour un chanteur mythique disparu en décembre 2017 et dont les médias reparlent en 2018 en raison d’un litige sur son héritage. Bien sûr, vous avez reconnu Johnny Hallyday.
Mais ce disquaire, l’avez-vous reconnu ?
Walter Houwaert – Disco 2000, magasin de disques. Ici années nonante
Son nom : Walter Hauwaert. Son magasin (le dernier) : Disco 2000, rue de Formanoir à Anderlecht.
À suivre !
(*) Brice Depasse a accompli un petit exploit littéraire, toujours sur « toute la musique qu’on aime ». Pour la petite histoire, cette histoire a poursuivi sa vie sous la forme d’une bande dessinée que je vous recommande, Londres 1968, aux éditions Chronica.


Philippe Schoepen vor einem Tag
oui j'ai vu que tu as bien bossé sur le sujet !
Alexandre Leforestier vor einem Tag
Moi ! Parce que les rituels autour de ces disques apportaient bien plus que la musique seule...
Mais bon... il fallait aussi s'occuper de la démocratisation du streaming musical de qualité et valorisé....