Glückwunsch! Deine Unterstützung wurde an den Autor gesendet
The Dark Détective

The Dark Détective

Veröffentlicht am 21, Feb., 2021 Aktualisiert am 21, Feb., 2021 Kultur
time 14 min
1
Liebe ich
0
Solidarität
0
Wow
thumb Kommentar
lecture Lesezeit
1
Reaktion

Auf Panodyssey kannst du bis zu 10 Veröffentlichungen im Monat lesen ohne dich anmelden zu müssen. Viel Spaß mit 9 articles beim Entdecken.

Um unbegrenzten Zugang zu bekommen, logge dich ein oder erstelle kostenlos ein Konto über den Link unten. Einloggen

The Dark Détective

Annie

« Mieux vaudrait rentrer, maintenant ... »

Se disait Annie, pendant qu'elle était en train de marcher sous la pluie près de la cathédrale de Strasbourg. Les ruelles étaient désertes et il faisait assez froid. Ca faisait déjà un moment que la pluie battait son plein et personne n'était dehors depuis longtemps. Tout le monde s'était déjà protégé car c'était vraiment une tempête assez féroce.

Annie était au téléphone avec son amie Jeanne. Elle lui disait qu'elle allait bientôt rentrer, mais Jeanne, assez moqueuse, aimait bien s'amuser avec elle des situations dans lesquelles elle se trouvait.

« Aurais-tu peur de la pluie ? » demanda Jeanne d'une voix extrêmement moqueuse. 

« Non, mais si tu voyais ce que je me prends sur la tête, tu ne dirais pas ça, je vais faire le plus vite possible pour rentrer. » 

« Je compte sur toi, j'ai fait une soupe de poireaux. »

Annie raccrocha alors son téléphone, se couvrit le plus possible pour ne pas être atteinte par la pluie et continua son chemin en essayant de se protéger le plus possible des gouttes qui pouvaient lui tomber dessus. Pour se faire, elle longeait les murs des habitations qui se trouvaient juste en face de la cathédrale.

Elle passa juste à coté d'une flaque d'eau assez grande dans laquelle on pouvait voir clairement la pleine lune se refléter. Elle n'y porta pas tout de suite attention, mais, vit bizarrement dans cette flaque des ombres apparaître.

Elle se retourna et vit alors surgir deux hommes juste en face d'elle. Ceux-ci étaient différents des hommes ordinaires qu'on voit généralement dans la rue. Ils étaient grands, mais avaient la particularité d'avoir un corps en forme d'oiseau, un bec long et dur, des ailes à la place des mains avec des griffes au bout, le torse dénudé.

Ils se rapprochèrent lentement d'Annie avant de se jeter sur elle pour lui dérober son sac. Annie prit peur tout de suite. Elle savait qu'elle allait avoir des ennuis avec ces deux hommes car, depuis un moment déjà, la ville était remplie de ces hommes oiseaux qui essayent de dépouiller les gens pendant la nuit en profitant de leur condition physique.

« Laissez-moi, laissez-moi », cria Annie de toute ses forces en espérant que quelqu'un puisse l'entendre. Mais elle savait déjà que c'était inutile car il n'y avait plus âme qui vive dans les rues à cette heure et par ce temps. Elle était seule face à son destin et ne savait pas du tout quoi faire. 

« Ca ne sert à rien de crier », lui dit l'un des deux hommes, nous allons prendre du plaisir avec toi et personne ne pourra rien faire, tu es à notre merci.

L'autre homme oiseau poussa alors Annie dans la flaque d'eau et se jeta juste au dessus d'elle. Les deux se mirent alors à rire très fort, en voyant Annie complètement mouillée, elle allait se mettre à pleurer.

Ils étaient tellement préoccupés par ce qu'ils faisaient avec Annie pour s'amuser qu'ils n'avaient pas remarqué l'ombre qui se rapprochait d'eux par derrière. Plus elle se rapprochait, plus elle grandissait comme si c'était un géant qui se trouvait derrière eux.

« Stop ! » dit l'ombre d'une voix rocailleuse extrêmement virile.

Les deux hommes prirent tout de suite peur. Ils n'avaient jamais entendu une voix aussi grave. Ils se retournèrent tout de suite et prirent peur de ce qu'il voyaient. Ils se mirent aussitôt à courir en espérant pouvoir échapper à ce qu'ils avaient vu, mais là encore la voix se fit entendre.

« Rien de sert de courir, vous êtes à moi. »

L'ombre fit un bond et, en une seule fois, arriva sur les dos des deux hommes, les prit par le col et les fit tomber sur le coup. Les trois se relevèrent aussitôt et un combat commenca. Annie regardait ce qui se passait depuis un moment et elle était restée dans la flaque d'eau, elle admirait son sauveur au travail.

Après quelques instants, l'ombre avait vaincu ses deux adversaires qui se trouvaient au sol. Annie ne voyait pas correctement son visage, mais elle était soulagée d'avoir été sauvée. L'ombre se rapprochait d'elle pour venir l'aider à la sortir de cette flaque dans laquelle elle était depuis un moment déjà. Elle avait de la boue qui commençait à se former autour de ses habits. Une fois relevée, Annie pouvait voir le visage de son héros grâce à la pleine lune qui illuminait le paysage. Elle fut extrêmement surprise de découvrir que celui-ci avait une tête de chien.

« Mer....Merci....de m'avoir sauvée. J'ai cru que j'allais mourir ce soir... ils étaient vraiment effrayants », dit Annie avec une voix très basse. Elle était assez impressionnée par l'apparence de son sauveur qui la dégoutait encore plus que celle des hommes oiseaux. « Ouais », le seul mot qui sortit de la bouche de son héros. Il ne semblait pas se soucier de ses remerciements.

« Mais... comment avez-vous su que j'étais en danger ? » demanda Annie. 

« Hum, votre portable, M'dame. »

 « Mon portable ???? »

 « Ouais. »

Annie prit alors son téléphone et regarda, mais ne comprenait pas pourquoi son portable lui avait sauvé la vie, car il n'avait rien de particulier. Elle avait juste appelé son amie Jeanne mais avait raccroché bien avant que les deux hommes ne viennent pour l'agresser.

« Il y a un signal de détresse dans votre portable. »

« Quoi ??? elle ne comprenait pas comment c'était possible. »

« Hum, un grognement de la bouche, vous êtes sur écoute du gouvernement, comme tout le monde, et moi je suis le Dark détective, pour vous aider. J'ai entendu votre signal avec mes oreilles de chien. »

Annie était très perturbée, elle ne se sentait pas bien car elle venait de découvrir les hommes oiseaux qui attaquent la ville et surtout qu'elle était sur écoute, comme tout le monde.

Victor

Au même moment, quelque part à Strasbourg, sur le campus central, un homme était en train de se vider contre le mur d'un des bâtiments. De là où il était, il pouvait sentir une forte odeur de frites, celles-ci devaient provenir de l'un des Mcdonalds éparpillés dans la ville. Il portait un jean quelconque, des lunettes assez épaisses et arborait une coupe de cheveux au bol comme dans les années 90. Il se prénommait Victor. C'était assez facile de le deviner, en effet, il avait son nom marqué sur un sticker qui était tout le temps collé à sa veste. Il faisait très étudiant en histoire mais était en réalité en langues.

Après avoir fini de se vider contre le mur de l'université, il remonta son pantalon et continua son chemin. Il était bien tard déjà, 23h. Et il n'y avait plus personne depuis longtemps sur le campus, mais les lumières des lampadaires étaient assez fortes pour se retrouver dans la pénombre. Victor n'avait pas peur, il arpentait ces chemins depuis longtemps, il n'avait rien à redouter ici.

Se rapprochant du terrain de foot qui se trouve près du nouveau patio, il ne pu s'empêcher de remarquer un petit groupe d'hommes qui se tenait non loin de lui. Ils semblaient fumer des substances illicites, mais Victor n'en avait que faire et continuait son chemin. Toutefois, arrivé près du parking, il entendit un cri de femme effrayant provenant de l'endroit où se trouvait le groupe d'hommes qu'il avait croisés. Ils étaient en train d'agresser une pauvre femme. Victor décida alors de se rapprocher en toute discrétion de l'endroit où se trouvaient les personnes. Ils étaient juste en face du nouveau patio et pouvaient se refléter dans les fenêtres de celui-ci.

Victor avait un peu peur, ses jambes se mirent à flageller. Victor restait alors impuissant, caché derrière une voiture à voir la terrible scène qui se présentait sous ses yeux. Une pauvre femme se faisant agresser par trois hommes puissants, qui n'avaient sans doute qu'une seule pensée, celle de lui faire subir les pires offenses. Elle criait de plus en plus fort, mais personne n'était présent dans les environs. Il faisait si tard et si froid que tout le monde devait être bien au chaud dans son foyer. Les trois hommes savaient qu'ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient, personne ne viendrait les déranger dans ces conditions. IIs étaient tout puissants face à cette femme qui ne comprenait pas comment cela avait pu arriver. Quelques minutes plus tôt, elle s'était contentée de passer par ce chemin pour rentrer chez elle et ne pouvait se douter que l'enfer allait s'abattre sur elle. Victor devait donc assister, décontenancé, à cette macabre agression de cette pauvre fille sous ses yeux par ces trois hommes. L'air ambiant devenait nauséabond, bien que frais et gelé, la température se réchauffait bizarrement, non pas par l'effet du soleil ou autre interférence naturelle mais parce que les choses devenaient de plus en plus dures pour Victor. Il sentit tout d'un coup comme un effet de remontée gastrique en lui, comme si tout ce qu'il avait mangé depuis une semaine allait sortir tout d'un coup par sa bouche. Il se tint alors contre une voiture, accroupi pour ne pas être vu, et dégobille tout ce qu'il avait du manger de la journée. Des gouttes de transpiration se mettaient à perler sur son front et la température interne de son corps devait avoir augmenté d'un ou deux degrés, ce qui le plongea dans une chaleur infernale. Victor avait décidé qu'il était temps d'intervenir. Il ne pouvait pas laisser les choses aller plus loin, c'était au-delà de ses forces, ca le répugnait de voir quelque chose comme ca arriver. Ni une ni deux, il se leva, se dirigea vers les trois hommes et poussa un grand cri.

« Lâchez-la tout de suite, vous m'entendez ! »

Il s'écria de toutes ses forces, ce qui fut tout de suite remarqué par les trois hommes, mais ceux-ci ne semblaient pas être effrayés. Ils étaient bien plus grands et bien plus costauds que lui. Ca n’empêcha pas Victor de se jeter seul sur eux, il réussit à en mettre un à terre, malheureusement pour lui, ils étaient supérieurs en nombre et bien plus combatifs, il ne fallut pas longtemps pour que l'avantage soit le leur.

 

« Ecoute, minable, tu vas te calmer, on va s'occuper de la dame, et après ce sera ton tour, y aura pas de témoin »

L'un des agresseurs avait enfin décidé de parler et c'était avec une voix très grave qu'il lui avait lâché ces quelques mots. Victor avait compris qu'il avait fait une très grosse erreur en venant se battre contre eux. Il n'avait aucune chance et maintenant c'est dans son pantalon qu'il avait mal. Il se prit un énorme coup de poing en pleine figure et s'était effondré sur le sol juste après.

Il s'était réveillé quelques minutes plus tard pour découvrir avec stupeur que les hommes qui l'avaient agressé étaient eux aussi couchés sur le sol et ne bougeaient plus. Attachés, ils semblaient complètement KO, comme si quelqu'un les avait passés eux-même à tabac. Victor voulait se lever, mais il avait énormément de mal à se mettre debout. Heureusement pour lui, il sentit des mains le prendre par derrière et l'aider dans sa démarche. Quand il se retourna pour voir le visage de celui qui lui était venu en aide, il fut pris de spasme. Ce n'était pas un visage humain ! mais celui d'un chien ! Il venait de rencontrer le Dark detective ! Victor était plus perturbé que jamais maintenant, ne comprenant plus ce qui se passait, une agression, un combat , un homme à tête de chien ...

« Tu as fais le bon choix, jeune garçon, tu as choisi de résister contre les forces du mal »

Ce sont les mots qui sortirent de la bouches du Dark detective avant que Victor ne retombe dans les pommes. Heureusement , on n'avait plus besoin de lui ici. La femme avait été emmenée aux urgences et la police s'était chargée de récupérer les agresseurs pour les emmener faire un tour au poste.

Pour une fois Victor se disait bien qu'il avait eu raison en fin de compte de se dresser face à l'injustice, mais était-ce un rêve ou cet homme avait-il vraiment une tête de chien."

Félix

C'était une de ces nuits où il ne se passe jamais rien. Aucun programme intéressant à la télé, aucune sortie à faire, personne dehors tellement il fait froid. C'est ce que se disait notre cher Félix. Encore une fois, il allait rester seul chez lui à manger des sushis et à regarder des films, mais, bizarrement, une drôle d'envie lui vint. Celle de sortir pour aller voir quelqu'un, quelqu'un de très spécial pour lui.

Il chercha alors dans ses affaires, celles qui pouvaient servir à cette sortie. Il décida alors de mettre un magnifique pantalon blanc, une chemise blanche et une veste blanche, habillé comme un mafioso italien qu'il pensait. Puis il nettoya ses superbes chaussures blanches avant de se mettre en marche pour son rendez- vous impromptu.

Il marchait dans la ville avec un grand sourire aux lèvres et se pavanait comme s'il avait touché le loto. Il savait, qu'en fin de compte, ça allait être une grande soirée pour lui, vu qu'il se dirigeait vers les Quais des Alpes, juste à côté du cinéma UGC. C'était un endroit où, tous les soirs, vous pouvez retrouver des femmes, des femmes qu'il fallait malheureusement payer, mais ça Félix s'en fichait vu qu'il allait rejoindre une femme qu'il avait déjà vue un certain nombre de fois et qui lui donnait toujours le plaisir dont il avait besoin.

Arrivé là où il devait arriver, il se dirigea naturellement vers la femme qu'il voulait voir. C'était toujours la même. Ils se sont vite mis d'accord sur le prix, l'endroit et comment. Félix était tout excité par ce qui allait arriver, il l'a suivi vers la chambre, où tout allait se passer, qui se trouvait juste à côté des quais dans un immeuble en coin de rue.

Ils rentrèrent tous les deux dans la chambre, puis comme à son habitude, Félix se posa sur le lit en attendant que les choses commencent vraiment. Il se frottait les mains, puis il enleva sa veste blanche pour la poser sur une chaise qui se trouvait juste à coté de lui. La chambre était assez grande , il y avait de la place pour un lit deux personnes, une table de déjeuner et une petite cuisine. La salle de bain était séparée par une porte noire et elle possédait une baignoire assez importante pour de grandes personnes. Une forte odeur de souffre provenait de cette pièce et Félix n'osait pas demander pourquoi, il était plus préoccupé par ce qui l'attendait.

La fille se mit alors à faire un striptease, pas vraiment le meilleur qui soit, mais c'était suffisant pour plaire à son client. Elle dansait langoureusement et se rapprochait de lui petit à petit. Une fois arrivée à côté de sa cible, elle commençait à lui retirer ses vêtements qu'il avait mis si longtemps à choisir, elle le déshabilla, déshabilla, déshabilla, une fois arrivé à la dénudation totale, il était prêt pour la suite. Elle lui dit alors de se mettre debout et de se préparer en fermant les yeux.

Elle fit passer délicatement la verge qui devenait de plus en plus dure de Félix entre ses doigts. Celui-ci n'avait pas encore remarqué que le visage de sa demoiselle s'était mis à changer d'une manière assez étrange. En effet, celui-ci ressemblait plus à un oiseau qu'à celui d'une femme maintenant. Mais il était perdu dans ses pensées.

Il se sentait de mieux en mieux, et, pendant un court instant, il avait l'impression que le reste de l'univers n'existait plus. Il pouvait se sentir voler comme s'il était lui-même un oiseau, et ce moment devint de plus en plus bizarre. Lorsqu'il sentit son tuyau se faire prendre dans la bouche du démon, mais il ne le savait pas encore.

« Mmm vas-y ! continue, je me sens tellement bien » dit-il en arborant un sourire encore plus grand que lorsqu'il se dandinait dans la rue.

C'est quand il se sentait le mieux qu'il se rendit alors compte que quelque chose clochait. En

effet, il commençait à sentir des morsures assez gênantes en provenance de sa membrane génitale. Il dit alors à sa compagne du soir de se calmer un peu, mais celle-ci ne répondait plus. Il baissa alors la tête pour voir ce qui se passait et c'est là qu'il deécouvrit la vérité, ce n'était pas une femme mais une femme oiseau.

Il commença alors à se débattre pour l’empêcher de laisser son bec crochu agripper une partie de lui, mais il était trop tard. Elle était déjà allée trop loin dans l'exploration. Félix ne redoutait plus qu'une seule chose, celle de se faire prendre son organe à son insu. Il se débattit autant qu'il pouvait et tomba au sol avant de pouvoir se détacher, elle restait accrochée comme une sangsue.

Félix se sentait bizarrement affaibli, c'est comme si tout le sang de son corps allait se trouver dans son organe pour une raison qu'il ne pouvait comprendre. Il sentait que c'était la fin. Il allait mourir, comme ça, couché sur le sol avec un oiseau au bout de son oiseau. Heureusement pour lui, ce n'était pas ce que le destin lui avait réservé et il entendit un grand boum, puis, vit les fenêtres, de la chambre où il était, se briser. En sortit alors un homme avec un grand manteau jaune, un chapeau des années 30 et surtout une tête de chien.

Il comprenait de moins en moins ce qui pouvait bien se passer, mais ce mystérieux visiteur se précipita pour séparer les deux. Félix utilisa alors toutes les forces qui pouvaient lui rester pour se diriger jusqu'à la salle de bain. Il réussit à ouvrir la porte pendant que, dans son dos, les deux créatures s'affrontaient.

Il découvrit alors avec horreur ce qui se cachait dans la salle de bain. Des corps décomposés d'hommes qui, comme lui, avaient dû servir de repas bizarre à celle qui faisait le trottoir. Il était alors pris d'un effroi tel qu'il ne pouvait plus bouger. Le sang de son corps ne circulait plus correctement et son cerveau était figé dans la brume. Il ne pouvait que voir le spectacle qui lui était maintenant offert, celui d'un chien attrapant et dévorant un oiseau.

Après quelques minutes de combat acharné, l'homme à la tête de chien avait encore gagné son combat.

« Tu ne devrais pas faire ça, si tu veux une relation, il faut se battre pour, pas payer »

Voilà les dernières paroles que Félix entendit avant de s'évanouir par manque d’oxygène dans son cerveau.

Vous pouvez retrouver les différents poèmes et nouvelles ici : https://linktr.ee/artdelapoesie

lecture 136 Aufrufe
thumb Kommentar
1
Reaktion

Kommentar (0)

Dir gefallen die Artikel von Panodyssey?
Unterstütze die freien Autoren!

Die Reise durch dieses Themengebiet verlängern Kultur
Désaccord
Désaccord

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, votre sourire, ma joie.

Bernard Ducosson
1 min
Marche ou crève
Marche ou crève

Hé non, ce n'est pas Stephen ici et rien avoir avec le King, juste une fan qui ad...

Gand Laetitia
2 min
Laëtitia GAND
Laëtitia GAND

 Auteure, critique littéraire, Laëtitia Gand est née le mercredi 9 mai  1979  ...

Gand Laetitia
3 min
Méditer
Méditer

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, vôtre sourire, ma joie.

Bernard Ducosson
1 min
Jurer
Jurer

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, vôtre sourire, ma joie.

Bernard Ducosson
1 min

donate Du kannst deine Lieblingsautoren unterstützen

promo

Download the Panodyssey mobile app