Les rues sans issue
Les rues sans issue
Alors que le soleil se couche sur la cité
La fureur se réveille, et les bruits, ceux des chaînes
De télé. Ici, s’allume le règne : électricité,
Dans les rues, les artères et les veines
Au cœur de la ville qui s’étire lentement,
Des paires d’yeux de lumière se fraient un chemin
Dans la foule croissante des passants
Il n’y a personne pour personne, rien pour rien.
Sous la lumière artificielle on perçoit
Des paradis interdits dans des voies sans issues
Des chants qui s'entremêlent près des filles de joie.
Des parfums « cheap » aux meilleurs tissus
Chacun a ses endroits, à chacun sa tribu.
Les « private rooms » , les « no entrance ».
Sont des droits qui ne se partagent plus
Allez savoir qui, ici, mène la danse…
Quand on rentre dans les rues sans issue
Sait-on ce qu’on
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