L'équilibre du monde
Auf Panodyssey kannst du bis zu 30 Veröffentlichungen im Monat lesen ohne dich anmelden zu müssen. Viel Spaß mit 28 articles beim Entdecken.
Um unbegrenzten Zugang zu bekommen, logge dich ein oder erstelle kostenlos ein Konto über den Link unten.
Einloggen
L'équilibre du monde
Ce poème qui lave les péchés du monde, apporte à ceux qui le récitent, Santé, Richesse et Paix profonde.
Qui lit un seul vers de cette épopée est à l'instant purifié : il jouira d'une longue vie, il goûtera la joie du Paradis.
Ceux qui lisent le Ramayana matin et soir, voient se réaliser tous leurs espoirs : ils vivent à l'abri de toute adversité, ils habiteront au Royaume de l'Eternelle Félicité.
Tant que les sommets et les mers sculpteront ce morceau de Terre, le Ramayana vivra toujours, sauvant les hommes par l'Amour.
Brahmâ
Dans cet univers mythique, le soi individuel (jîvâtman), l'étincelle de divinité, l'être essentiel de chaque homme, qui correspond dans une certaine mesure au concept occidental de l'âme jaillit en même temps que le Créateur, Brahmâ.
Le Râmâyana, conté selon la Tradition orale (Albin Michel 2006) - Extrait
Brahman, selon la Tradition hindou est le but le plus élevé de tout être humain.
Au-delà de toute matière se dissimule la Conscience cosmique, l’Être seul d’où émerge l’ensemble des êtres perceptibles.
L’Être s’autodéploie à travers ses propres déterminations que sont ses Noms et Attributs. Ces derniers font définir chaque parcelle de matière, chaque être vivant.
Dès lors, l’univers se révèle être la théophanie de l’Être divin, le miroir par lequel Il se découvre Lui-même.
La Création est son automanifestation.
Nous sommes donc des secrets divins révélés, mais comme nous sommes aveugles à nous-mêmes nous ne voyons rien, ou plutôt nous sommes prisonniers des apparences. Ibn Arabi rejoint Goethe, qui affirmait que « tout est symbole », ainsi que l’enseignement promulgué par les anciens Égyptiens et les textes hindous.
« Dieu est donc le miroir dans lequel tu te vois toi-même, comme tu es Son miroir dans lequel Il contemple Ses Noms. Or, ceux-ci ne sont rien d’autre que Lui-même, en sorte que la réalité s’inverse et devient ambiguë. » (Ibn Arabi)