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Episode 4 : Le Jackpot?

Episode 4 : Le Jackpot?

Veröffentlicht am 12, März, 2025 Aktualisiert am 12, März, 2025 Erotica
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Episode 4 : Le Jackpot?

Ce matin,

je m’étais levé plus tôt qu’à l’accoutumée, après une nuit pleine de rêves libidineux, tantôt excitants, tantôt dérangeants, liés aux événements de la veille. Nous étions déjà vendredi et c’était le dernier jour avant notre départ. L’ambiance sur le campement avait changé. Il y avait maintenant 2 couples dans notre tribu, et Sophie et Marine semblaient vivre leurs premières expériences homos avec tout l’égoïsme des nouveaux couples. Guillaume quant à lui n’avait pas encore attrapé de pucelles dans ses filets, mais Maggy, une jeune anglaise en vacances fraîchement débarquée avec ses parents semblait se rapprocher de plus en plus de l’antre verte du fennec… à ses risques et périls !

J’étais là et las,

à boire mon nescafé tiède, en me disant que ce soir, c’était le soir ou jamais. La pression montait et je passais, comme on les appelle en toute franchise, une vraie journée de merde. Je ne calculais ni les copains ni plus personne d’ailleurs… J’avais l’impression d’être un gros « looser » comme disait Maggy et que ces vacances qui devaient être mémorables dans ma vie d’homme allaient malheureusement rester dans la même lignée que tous mes autres souvenirs de vacances ici… des jeux d’enfant, rien de plus !

Pour garder le même état d’esprit d’enfant gâté qui n’avait pas eu son jouet, je décidais à notre départ de la plage de ne pas suivre les copains pour la sacro-sainte session de douches. J’allais me faire une expédition en solitaire dans les jeux de fêtes foraines, sur les quais déjà animés du port du Pouliguen.

Depuis mon plus jeune âge, j’adorais ces machines à sous où il faut faire pousser les pièces au bord d’un précipice afin de les faire tomber pour décrocher le jackpot. Encore ensablé, en bermuda et débardeur, la serviette de plage autour du cou, je détonais avec les familles endimanchées, aux cheveux bien démêlés qui sentaient bon le Mixa bébé … Mais je m’en foutais, une fois mon billet de 20 euros transformé en pièces de jeu, je choisissais ma machine avec la patience et l’expérience d’un vieux sage. Enfin, j’avais l’impression d’être plus mûr que tous ces gamins qui m’entouraient, et qui mettaient une pièce par-ci, une pièce par-là, en changeant de machines comme de chemises. Moi, je savais qu’une fois choisie, je ne changerai pas de machine : c’était le secret des gagnants. Surtout que cette année, le Super Jackpot de l’été était :

"Une nuit pour deux personnes à l’Hermitage",

le palace cinq étoiles, situé sur la plage de La Baule.

J’errais donc entre les machines, restant scruter les joueurs et le nombre de pièces qu’ils leur restaient à jouer… C’était ainsi que je me retrouvais derrière un frère et une sœur d’une dizaine d’années, qui n’avaient bientôt plus une pièce dans leur gobelet et qui étaient pourtant près à tout faire tomber. Une fois leur dernière pièce mise, ils s’en allèrent en bougonnant et partirent quémander un autre gobelet de pièces à leur mère qui les attendait sur le quai.

Ni une, ni deux, je m’installais à leur machine. Mettant les pièces simultanément et toujours au bon moment, les tas commencèrent à tomber rapidement et je faisais sonner la machine fréquemment en remportant toujours plus de pièces. Attiré par le bruit, un groupe commença à se former autour de moi.

Enfants, parents et grands-parents se demandaient si j’arriverais à faire tomber l’ultra jackpot de l’été. Pris dans le jeu, je remarquais à peine le groupe autour de moi mais commençait à ressentir une certaine pression, tant morale que physique.

Les pièces tombaient, je me baissais pour les récolter et sentais les corps qui s’écartaient, sauf un, qui obstrua mes mouvements.

Je me retournais, gêné et irrité d’être ralenti dans mes mouvements et rencontrais les yeux infiniment bleus, d’une belle femme d’une quarantaine d’années, qu’on appelait entre nous « M.I.L.F » (* Mother I Like to Fuck). Je la reconnaissais tout de suite, c’était la mère des gamins dont j’avais pris la suite de la machine.

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