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Two Lovers (James Gray, 2007)

Two Lovers (James Gray, 2007)

Veröffentlicht am 12, Aug., 2022 Aktualisiert am 12, Aug., 2022 Kultur
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Two Lovers (James Gray, 2007)

"Two lovers" est le premier film de James GRAY que j'ai vu dès sa sortie au cinéma parce qu'on me l'avait recommandé et j'ai su tout de suite que ce réalisateur ne serait pas ma tasse de thé ce que les autres films que j'ai vu de lui depuis a confirmé (du moins jusqu'à présent). Pourquoi suis-je relativement hermétique à son univers? Si je me base sur "Two lovers" que je viens de revoir afin de mettre des mots sur mon ressenti, je dirais que je trouve le scénario et la mise en scène monocordes et prévisibles. Les enjeux sont surlignés à gros traits, par exemple les filles ont du mal à exister par elles-mêmes et servent surtout à illustrer le choix que doit faire Léonard entre endogamie et exogamie et on sait à peu près dès le début comment cela finira. Autre problème majeur à mes yeux, le manque de crédibilité des personnages. Je n'arrive pas à croire une seule seconde en ce Léonard trentenaire vivant toujours sous la coupe de ses parents et notamment d'une mère juive étouffante (jouée par Isabella ROSSELLINI). C'est moins l'âge du personnage en soi qui me pose problème que le fait que je sens trop le rôle de composition de Joaquin PHOENIX dans le rôle d'un vieux garçon déséquilibré et indécis qui se la joue ado attardé. Son comportement frise le ridicule. Mais ce qui me pose le plus gros problème, c'est le fait de taxer de romantique un comportement qui ne l'est pas du tout. On nous présente Léonard comme fragile, sensible et intègre alors que du début à la fin, il joue sur deux tableaux et qu'une fois son plan A (le plus excitant mais le moins sûr) définitivement à l'eau, il se rabat sans scrupules sur le plan B qui lui a été offert sur un plateau par ses parents et retombe ainsi sur ses pattes. Ce soi-disant malade mental réussit ainsi un triple coup digne des plus froids calculateurs: matrimonial, professionnel et social. Je l'avais déjà dit pour "The Immigrant" (2013) mais l'amour et l'exploitation sont incompatibles, vouloir nous faire croire qu'un personnage peut concilier l'un et l'autre autrement dit peut obtenir le beurre et l'argent du beurre est malhonnête (y compris vis à vis de soi-même).

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