Le virus des Flagrants Délires
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Le virus des Flagrants Délires
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Ce texte est un hommage à une émission de radio des années 80 dans laquelle officiait le grand Pierre Desproges et qui constituait, en son temps, un véritable espace de Liberté d’expression, renvoyant internet au rang de café du commerce géré par la STASI. Je vous conseille l’achat et/ou l’écoute (lien France Inter) dans ces temps où il faut rire. Desproges disait que l’on pouvait rire de tout, mais pas avec tout le monde. Alors ne va pas plus loin, toi qui te sent offensé facilement, toi qui cherche la polémique, toi qui considère qu’il y a une limite à l’humour. Va troller ailleurs s’il te plait. L’humour est un antidote à la peur.
Françaises, Français,
Belges, Belges,
Confinées, Confinés,
Infectées, Infectés,
Futurs Chômeuses, futurs chômeurs,
Mesdames, Messieurs les Jurés,
Public chéri,
Mon Amour.
Bonjour ma colère, salut ma hargne, Et mon courroux (coucou) – P. Desproges
Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les avocats pourris d’office, il est de ces procès exceptionnels et historiques, nécessitant la convocation d’une cour exceptionnelle – Nuremberg étant fermé -, en un temps moribond où il faut, d’un coup, manier la précaution oratoire pour toutes choses, et s’excuser par avance, de toutes les ignominies indécentes que ce Tribunal des Flagrants Délires a pu, et par extension, va de nouveau, proférer aux oreilles des populations fragiles et revendicatrices que sont dans le désordre, les femmes, les immigrés, les homosexuels, les bigots de toutes origines, et depuis 40 ans, toutes les religions rivalisent en stupidités dogmatiques et opérations d’épuration de l’Autre plutôt que d’Amour Divin, oui, disais-je, nous sommes dans un temps où il nous faudrait nous excuser, et je le ferais bien volontiers, si ce n’étais finalement que ce tribunal est rempli de morts, à part Luis Rego, dont le régime Porto-Sardine entretenu par sa tata Rodrigues par l’envoi de bocaux par Go-Fast – c’est plus rapide que Fedex-, démontre la supériorité du régime Portugais sur le crétois, – Luis Rego, qui n’est pas mort et pas non plus français, puisque notre république éclairée a su lui refuser la nationalité considérant qu’il ne venait que manger le sein des françaises et prenait la place de français de souche moins drôle -, oui nous sommes tous morts, disais-je avant d’être interrompu par moi-même, mais bon je peux rien me refuser non plus, et c’est tant mieux, parce que les morts ne s’excusent pas, par pure paresse de se lever de leurs caveaux.
Parce que de morts, Mesdames et Messieurs les Jurés, il va en être question dans ce procès du ministère publique contre cet individu, Covid, Coronavirus, on ne sait plus trop, coupable des chefs d’accusation de Pandémie en bande organisé, de crimes contre cette humanité faible et sans défense, de désorganisation de nos structures politiques et sociales, de détournement de biens publiques, de délit d’initié et de viols collectifs de bouches et de nez par intrusion sans consentement (#meetoo).
J’ai moi-même ainsi que la mère de mes enfants, monsieur le Président, était violemment envahi par le prévenu, il nous a secoué, il nous a épuisé, mais fort heureusement il s’est englué dans mes poumons fumeux comme le cormoran qui regarde passer le supertanker au pied des falaises bretonnes.
Oui, des morts il y en a à mettre au compte de ce Serial Killer, comme disait les Nuls, qui œuvre encore, dehors, à déranger les joggers, à rendre visite aux vieux, alors qu’il n’y a plus que lui qui ne le fasse, et qui est maintenant dans une tournée américaine menée cerceuil battant, euh non, tambour battant. Combien y-a-t il de morts ? 100 000 selon la police, 1 million selon les syndicats, ne rentrant pas dans une querelle de chiffres stériles, sachant en plus que nous allons bientôt entamer les stocks de champagne pour stériliser, mais concentrons nous plutôt sur l’ampleur de la culpabilité de ce virus, qui est encore loin, heureusement, d’égaler la performance de ses pairs, ni revendiquer les marches d’un podium du plus meurtrier, détenu fièrement par la race humaine, parce qu’on est jamais aussi bien massacré que par soi-même.
Coronavirus, donc, connu des services de Police/Santé par les alias de COVID-19 ou SRARS-COV2, et connu dans le milieu par les sobriquets de Corona-Mort-Subite, Connard-O-Virus ou encore Coco l’enculé, est assis devant nous, entouré par ses avocats médecins dont la verve au cours de ce procès a égalé l’incompétence des pédopsychiatres dans les procès Dutroux, qui ont fait écho au mutisme du prévenu, aussi muet qu’un médecin chinois convoqué au Parti, et ont déroulé une ligne de défense d’irresponsabilité totale à l’encontre des chefs d’accusation.
Hors il est coupable le bougre ! Il peut se cacher derrière l’hygiène douteuse de la population française et notre tradition de se moucher dans le coude des autres, il est établit qu’il en profite à chaque fois pour passer clandestinement d’un organisme à l’autre et attend le prochain train avec toute la perfidie du migrant qui attend la marée recroquevillé dans la cale du 3 mâts de Dupont de Ligonnès.
Oui il est coupable, cela ne fait aucun doute, et les misérables justifications de l’Organisation Mondiale des Scientifiques Désabusés, réclamant la clémence de cette cour plus prompte à couper des têtes que d’écouter les circonstances atténuantes d‘un prévenu refusant les conséquences de ses actes, ne détourneront pas le bras de la justice, bras cassé mais porté bien haut, par moi, Procureur de la République Desproges française, qui bous d’envoyer ce misérable à la guillotine, comme la tradition régicide nous l’a permise et la rose socialiste nous l’a ôtée.
Examinons donc ces circonstances qui se veulent atténuantes et dont je démontrerai le caractère aggravant sinon ridicule d’une justification d’une faute déportée sur les victimes, c’est à dire nous Tous, alors que nous, humains, vivions heureux et nus dans les prairies de l’insouciance et de Youporn, obsédés par le maintien des principes de Fraternité, d’Egalité et de Liberté, que nous mangions Vegan pour permettre à nos plus pauvres d’acheter de la viande à des prix laminés par le marché bienveillant, que nous forniquions libres de toutes contraintes, une fois le formulaire de consentement rempli en triple exemplaire, et que nous n’avions donc rien fait à cette espèce autre que branler le caniche à l’eau de Javel pour que les cuivres soient propres et nos chinois désinfectés.
Parlons-en de cette première ligne de défense du prévenu sur son enfance difficile. L’accusé dit être né en Chine sur un marché, à même la paille, entre un chien écorché et un serpent mué. Jésus n’a pas fait tant d’histoire pour être né dans une étable. Son origine ethnique est d’ailleurs discutable, on voit bien qu’il n’est pas chinois. Il est le fruit des amours interdits d’une chauve-souris avec un pangolin, on me l’a fait pas à moi, il devrait plutôt ressembler à un pokemon. Non, l’extraction simple de l’accusé ne saurait être une excuse à sa folie meurtrière, comme le fait qu’il aurait prévenu gentiment les autorités chinoises de son arrivée, autorités bien trop occupées à assurer l’occupation des masses laborieuses et la gestion des flux monétaires, et qui a pourtant dès le début de la crise soigneusement isolées tous les porteurs de fake-news capitalistes, dans les camps de rééducation socialistes, où ils ont pu mourir loin des caméras et des réseaux sociaux, morts mais heureux du redressement de leur moralité par la doctrine du Parti Communiste Chinois, seule protection pour l’homme civilisé devant la furieuse invasion occidentale porteuse d’internet ouvert, de revendications sociales et de libertés si intolérables à l’épanouissement des masses populaires, tellement en demande d’une semaine de 70h et de dortoirs confinés. Non, je vous le dit chers Jurés masqués et désociabilisés, il n’y a pas de raisons dans l’histoire de l’accusé pour justifier de tels crimes, et encore moins de justifications pour ses actions aux yeux du gouvernement chinois, équivalent à un crime d’un bonze tibétain de bruler sa carte du Parti en s’immolant par le feu.
L’irresponsabilité de l’accusé en regard de la crise des gouvernements du monde, plaidée par les représentants de la défense passive et sous respirateurs, n’est pas recevable non plus. On le voit bien que nos gouvernements sont à la manœuvre pour contrer l’invasion de l’accusé qui ne respecte ni l’espace Schengen, ni le périphérique, et vient occuper toute la place laissée par les touristes asiatiques devant le fronton du Louis Vitton des Champs-Elysees, obligé de retailler toute la collection de sacs en masques FF-PD2, la seule norme qui retient le virus et laisse passer les liquides.
Ces gouvernements du monde entier sont en guerre ! Voyez les s’écharper sur les tarmacs, au pieds des avions cargos, pour quelques palettes de produits réactifs et de masques chinois, avec le trou pour la clope, ils sont tous dans la fuite en avant d’apporter le réconfort à leurs populations bien cachées derrière les frontières poreuses de la mondialisation galopante.
Ce n’est quand même par leur faute si les contraintes psychorigides de quelques pays européens, trop concernés par la rigueur budgétaire, leurs ont imposé de réduire les stocks de produits inutiles et de délocaliser la production vers des cieux plus cléments, où les normes ridicules et les considérations de minimum sociaux n’ont pas cours. Ils ne pouvaient pas prévoir, les pauvres, que malgré les contrôles drastiques des soutes et des trains d’atterrissage à la recherche de viande subsaharienne congelée, le virus puisse juste voyager en première classe et passer les frontières caché dans les miasmes de voyageurs cosmopolites.
Malgré la restriction imposée aux voyageurs chinois, accusés honteusement d’être vecteurs d’autre chose que de leurs devises, le virus a fait tout simplement escale en Italie, comme n’importe quel migrant érythréen, et a profité des soirées raclettes propices au promiscuité fromagères les plus infâmes pour passer clandestinement sur notre territoire. Le Rassemblement National a bien raison de vouloir fermer ces frontières à ces italiens bouffeurs de pâtes qui viennent manger la fondue des français et qui, culturellement, ne se lavent pas les mains de peur d’arroser l’assistance, par leurs incantations manuelles épileptiques, de l’eau contaminante de leurs mains souillées.
Non, mesdames et messieurs les Jurés, il est trop facile que le prévenu se défausse honteusement sur les gouvernements d’une quelconque incompétence dans la gestion de la crise, alors que chacun était plus prompt à soutenir leur économie et à conduire les réformes justes. On ne pourra pas accuser notre gouvernement français de gestion légère tant il était concentré à évacuer des ronds-points occupés par des personnes aux goûts vestimentaires douteux pour le jaune cocu et les bandes réfléchissantes. Il a été admirable ce gouvernement, prenant les bonnes décisions dans une réforme des retraites difficile et portant la résolution de nos déficits par une politique courageuse de non-assistance à retraités en danger. Il a été clairvoyant à maintenir les élections municipales afin d’exposer les vieux et les élus, sachant que les jeunes sauraient éviter de tremper leur inculture politique crasse dans l’urne contaminée. Les comptes sont, de fait, assainis et nous sortiront grandis par la disparition de cette dette que nous pourrons affecter au soutien de nos chômeurs, qui profitent des beaux-jours devant Netflix dans leurs somptueux 2 pièces HLM, dans lesquels l’amour des siens prend tout son sens lorsqu’il faut se coucher les uns sur les autres.
Il est facile de renvoyer chacun à ses coutumes ancestrales comme réponse à l’inégalité des Nations devant cette attaque. Nous ne sommes pas Japonais, nous ne nous saluons pas de courbettes ridicules et ne protégeons pas nos visages de ces masques inutiles dont notre gouvernement nous défend, à raison, afin de ne point dénaturer le sens inné du luxe et de la mode à la française. D’ailleurs, porter un masque est interdit dans l’espace publique, combat grandiose de notre liberté chérie contre l’invasion des femmes abats-jours et tout juste toléré dans l’île de beauté par tradition cagoulaire. Nous n’allons pas renoncer maintenant à ces idéaux de tolérance de la nudité nécessaire à l’émancipation des boudins et à l’identification des islamistes, par simple peur de la transmission. Nous n’allons pas cesser nos embrassades et résistons fièrement en terrasse alors même que la menace terroriste n’avait pas pu nous faire cesser de festoyer et boire, comme il est dans la nature du franchouillard rougis par l’alcool, sacrifiant son foie sur l’autel des excédents viticoles. Il est bien de la culpabilité de l’accusé de profiter de l’affluence quotidienne dans les transports en commun surpeuplés et du frotteur satyre pour infecter la jeune fille nubile à peine couverte par le frou-frou satiné de sa robe moulante-ras-le-bonbon et de son Hijab de foufoune parfaitement ajusté pour ne pas laisser passer ce poil impur que Mahomet préférât voir caché, à moins qu’il fût pour une taille ticket de métro à l’issu d’une séance d’épilation pré-lapidaire, mais je m’égare.
Non, nous ne renoncerons pas à nos contacts nécessaires et miasmés parce que le prévenu nous menace d’en profiter pour disséminer à notre insu sa semence immonde et sa progéniture pléthorique. Nos amis américains l’ont bien compris, eux qui savent être tolérant vis-à-vis des malades mentaux, portant à l’investiture un cas critique de connard sans virus particulièrement contaminant par ses idées de justice simpliste, relançant le secteur du BTP par la construction d’un mur grandiose, reléguant les pyramides égyptiennes au rang de pâtés de sables pour congé-payés de Berck-plage, et soutenant le business médical par l’absence de mesures de confinement, afin que chaque américain puisse mourir en laissant le leg d’une dette pour kit de dépistage aux générations futures.
Du reste, l’accusé a bien exprimé lors de l’audience qu’il n’avait cure de cette implosion économique dont il se dégage, une nouvelle fois, de toute responsabilité. « C’est une affaire d’homme. Déclare-t il. Vous vous sabordez tout seuls ». Quelle arrogance ! Alors qu’il semble évident aujourd’hui que lui ou son commanditaire, la Nature, profite largement de la débâcle des marchés financiers pour préempter des territoires dont il ou elle avaient été chassés, à raison, par la main salvatrice de l’Homme qui a urbanisé ces champs infertiles et ces lagunes mal gérées au profit de ces miraculeuses constructions avec eau courante, internet et tout à l’égout. Ils jouissent ces complices malfaisants de nos usines fermées, abandonnées à l’infestation des racines et des mauvaises herbes, et profitent de l’absence de la pollution pour faire des ravages de pollen et d’arbres en fleurs. Nos compatriotes éternuent alors qu’il ne faut point tousser !
Regardez le prévenu pavoiser de la chute des grands fortunes, comme un CGTiste à l’orée du grand soir, que vont devenir ces anciens riches devenus nouveaux pauvres, se ruinant pour détourner les protections destinées aux personnels de santé – qui ont pourtant l’habitude de se faire cracher dessus par les gouvernements successifs – que vont devenir les start-uppers fortunés qui dégainent leurs solutions numériques anti-crise virtuelles au milieu de l’effondrement de la réalité. Combien de temps les travailleurs opiniâtres tiendront-ils dans leur bureau-salon, à assurer des réunions de grabataires sourds tout en gérant leur marmaille dont l’école de la République a préférée laisser à la maison, au lieu de permettre l’immunité collective par de sains échanges touche-pipi à la récré ? Combien de temps la mère de famille qui s’est battue pour avoir une vie sociale et professionnelle va devoir faire la classe en plus du ménage alors que son mari est en apéro-skype avec ses collègues après une journée de travail épuisante en chômage partiel ? Allons-nous laisser l’accusé dicter nos vacances dans la creuse sous prétexte que les vols pour les Seychelles ne sont plus assurés faute de compagnie aérienne ? Non, nous devons faire passer la justice pour que cet individu et ses complices soient identifiés et pourchassés jusqu’aux entrailles des réanimés.
Levons-nous peuple de France, d’Italie et d’Espagne et allons à la fenêtre pour applaudir les vaillants combattants, masques aux visages et serpillières au pieds, pour qui les vacances et le chômage partiel sont encore loin malgré que les décrets de fermeture d’hôpitaux fussent déjà rédigés. Levons-nous pour fouler au pied ce virus avec des sur-chaussures ! Levons-nous pour réclamer la fin de la poignée de main et la remplacer par le gros palot humide de notre traditionnel french kiss ! Levons-nous pour rétablir l’ISF et les droits de successions confiscatoires, avec lesquels les riches n’auraient pas pu voyager et ramener l’infâme virus sur nos terres de gauche. Mettons nous en Marche, comme notre président, pour aller jusqu’à la porte de nos maisons et revenir jusqu’à la fenêtre, et ainsi de suite, comme une foule révolutionnaire confinée ! Aux armes citoyen, formez les bataillons, ne laissez pas mugir ce féroce soldat qui étouffe nos filles et nos compagnes, abreuvez les sillons de chloroquine, frictionnez-vous au cognac, astiquez-vous à l’eau de Javel !
Ne laissons pas ce minuscule microbe mettre à terre toutes les belles industries pour lesquelles nous faisons régulièrement la guerre pour qu’il y ait toujours à reconstruire. Ne le laissons pas spéculer en bourse en shortant toutes les positions, sûr du profit qu’il retire de l’arrêt des lignes de production. Reprenons le travail, pour ceux qui en ont encore, la fleur au fusil et la serviette hygiénique accrochée aux oreilles. Il est temps de reprendre la main face au traditionnel ennemi allemand qui frime avec ses tests. Nous n’avons besoin ni de tests, ni de masques, ni de liquide hydro-alcoolique Chanel N°5, nous sommes français, que diable, nous avons supporté Louis XIV, Napoléon et Hollande, assumé les délires mégalomanes des uns et la médiocrité des autres; j’entends la voix du général De Gaulle, planqué au fond de sa tombe, exhorter les forces vives à remplir leurs attestations et à sortir, à dire Cāo nǐ à ce sous-produit d’ARN mal fagoté (allez vous-même sur Google Trad, bande d’alinguistes assistés), et à ne plus lui laisser de la place dans vos peurs.
Pour toutes ces raisons, je déclare l’accusé coupable et demandent aux jurés de me suivre dans mes réquisitions. A savoir :
- Un stage dans le cabinet du docteur Raoult qui a pour l’occasion sorti son cuir et ses poings américains, afin de le passer à la « question » sur ses complices et modes opératoires
- Un séjour tous frais payés à l’hôpital John Hopkins pour le désensibiliser de l’homme et le renvoyer dans son pangolin
- Une thalassothérapie à Javel et ses sources
La peine de mort étant abolie depuis bien longtemps par sensibilité excessive de la gauche envers les solutions pragmatiques et radicales, je persiste pourtant à demander sa tête et comme il n’en a pas, qu’on lui coupe sa coronesse !