

Fripouille à La grande soirée des célibchats et chien ( partie 2) 🐶 😻.
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Fripouille à La grande soirée des célibchats et chien ( partie 2) 🐶 😻.
Fripouille à La grande soirée des célibchats et chien .
🕗 20h00 : L’ agitation des préparatifs.
— Oh bon sang ! miaula Fripouille en tournant en rond, les moustaches hérissées. Je serai jamais à l’heure pour le bal !
Kazie, allongée nonchalamment sur un coussin, se léchait une patte avec élégance.
— Arrête de paniquer, Frip. Regarde-moi : je suis même pas encore parfumée au jasmin.
— Ouais mais toi t’as toujours la classe, répondit Fripouille, catastrophé. Et moi… moi je suis même pas lavé ! J’vais y aller comme ça, avec mes poils tout raplapla… Bonjour la honte !
À peine avait-il fini sa phrase qu’une voix douce mais ferme retentit derrière lui :
— Pas question, mon petit.
Fripouille se retourna juste à temps pour voir la mère de Kazie le saisir par la peau du cou et le déposer plouf dans un bac d’eau chaude.
— Miiiiaaou ! gémit-il, les moustaches dégoulinantes.
Camille, la maîtresse, accourut aussitôt avec un flacon de shampoing spécial chat. Elle le frictionna avec énergie, faisant mousser sa fourrure noire jusqu’à ce qu’il ressemble à un petit nuage savonneux.
— Non mais c’est une blague ! haleta Fripouille, entre deux éclaboussures.
À côté, Kazie, imperturbable, se faisait délicatement brosser par Lara, tandis que Quentin vaporisait un parfum discret sur son pelage.
— Hmm… jasmin, soupira Kazie, fermant les yeux. Parfait.
Fripouille, lui, se retrouva emmitouflé dans une serviette moelleuse, frotté vigoureusement puis séché au sèche-cheveux. Ses poils gonflés lui donnaient un air de ballon de baudruche.
— Oh là là, tu ressembles à un coton-tige géant, ricana Kazie en ouvrant un œil.
Fripouille, vexé mais soulagé de sentir sa fourrure toute douce, lâcha un petit sourire nerveux.
— Mouais… bah, si j’me ridiculise au bal, au moins je sentirai bon.
Camille termina de sécher Fripouille, puis sortit une petite boîte argentée de sa poche.
— Et maintenant… la touche finale.
Fripouille cligna des yeux, méfiant.
— Attendez… c’est pas un autre bain, hein ? Parce que là, je déclare forfait.
Camille rit doucement et ouvrit le flacon. Une douce vapeur s’en échappa, chaude et boisée. Un parfum au musc. Elle en pulvérisa deux nuages délicats juste au-dessus de sa tête.
— Hé ! Hé ! miaula Fripouille en agitant les pattes. C’est quoi ça ?!
Mais très vite, l’odeur se déposa sur son pelage encore gonflé. Fripouille renifla, surpris.
— Oh… mais… mais ça sent… ça sent… la virilité !
Kazie éclata de rire, ses moustaches frémissantes.
— Virilité ? On dirait surtout que tu viens de sortir d’une pub pour parfum de luxe.
Lara, elle, le dévisagea avec un sourire en coin.
— N’empêche… il a un petit côté mystérieux comme ça.
Fripouille bomba le torse, flatté, avant de trébucher en marchant sur la serviette qui traînait encore par terre.
— Ouais… mystérieux, mais maladroit, rectifia Zazou qui venait d’arriver, un nœud papillon bordeaux autour du cou.
Fripouille leva la tête, un peu gêné, mais il vit son reflet dans une vitre : pelage noir brillant, moustaches bien en place, et ce parfum musqué qui flottait autour de lui comme une aura invisible. Pour la première fois, il se dit qu’il avait vraiment l’air d’un gentleman prêt pour le bal.
Fripouille bomba le torse, flatté, avant de trébucher en marchant sur la serviette qui traînait encore par terre.
— Ouais… mystérieux, mais maladroit, dit Quentin à sa femme Camille en regardant fripouille , un nœud papillon noir autour du cou.
Fripouille leva la tête, un peu gêné, mais il vit son reflet dans une vitre : pelage noir brillant, moustaches bien en place, et ce parfum musqué qui flottait autour de lui comme une aura invisible. Pour la première fois, il se dit qu’il avait vraiment l’air d’un gentleman prêt pour le bal.
Camille, toute fière de ses protégés, sortit son téléphone et s’exclama :
— Attendez, pas question que vous partiez sans une photo souvenir !
Fripouille se figea, les oreilles en arrière.
— Une quoi ?! Mais… je ne suis pas prêt !
— Relax, mon frip, répondit Kazie en se dandinant une dernière fois devant le miroir. Avant de les rejoindre. Fais juste ton air mystérieux parfum musc. Ça marche toujours.
Fripouille gonfla le poitrail, tenta de prendre un air digne… mais ses moustaches le trahirent en frémissant comme des antennes de radio. Click !
— Voilà la photo solo ! annonça Camille, hilare.
Puis Lara et Kazie se placèrent de chaque côté, leurs queues entremêlées, élégantes comme des duchesses prêtes pour un bal de gala. Quentin se plaça derrière auprès de Camille qui tendait le bras avec sa perche, l’air protecteur et Fripouille au centre, un peu perdu, mais fier quand même.
— Tous ensemble, un grand sourire ! cria Camille.
Flash !
La photo de groupe brillait déjà sur l’écran : Trois chats magnifiques, chacun avec son style, mais réunis comme une petite famille prête à conquérir la nuit parisienne.
Camille ajusta ses boucles d’oreilles dorées qui tintaient doucement quand elle bougeait la tête. Sa robe noire fluide épousait ses gestes, et ses yeux pétillaient autant que ceux de ses protégés à quatre pattes. À côté d’elle, Quentin rajusta fièrement son nœud papillon, l’air sérieux comme s’il allait présider une soirée d’ambassadeurs.
— On dirait presque qu’on les emmène à un mariage, souffla Camille en riant.
— Non, rectifia Quentin avec un sourire amusé, on les emmène conquérir la Seine.
Elle se pencha pour caresser Fripouille encore un peu crispé par le parfum musc.
— Allez mon beau gosse, ce soir, tu fais tourner les têtes.
Fripouille bomba le torse, ses moustaches frémissantes trahissant son trac. Lara et Kazie l’encadrèrent aussitôt, leurs queues s’enroulant autour de la sienne comme pour dire : On est avec toi.
Quand ils atteignirent la passerelle rouge de la péniche, une silhouette familière les attendait. Scarlett, était fière, sentais la fleur de Tiaré, ses poils blanc touffu soigné pour l’occasion, son cou étais orné d’un collier de diamants en or qui scintillait, se tenait près de sa maîtresse, Maélie, une élégante femme brune en tailleur bleu nuit.
— Bienvenue au Grand Bal des Célibchats et Célibchiens, annonça Scarlett d’une voix solennelle, sa queue battant l’air comme celle d’une cheffe d’orchestre.
Maélie, souriante, s’accroupit et sortit d’un petit coffret des colliers étincelants.
— Les règles sont simples : chaque invité porte son collier, noir brillant pour les félines, doré pour les mâles. Et chaque collier porte un numéro : il servira pour les tirages au sort et… quelques surprises de la soirée.
Elle posa délicatement le collier noir scintillant autour du cou de Kazie : n°3. Puis celui de Lara : n°8, qui brilla de mille feux contre son pelage tricolore. Enfin, elle tendit le collier doré à Fripouille. Camille lui caressa doucement la tête avant de l’aider à le passer autour de son cou. Le pendentif gravé n°4 se mit à scintiller sur son pelage noir, comme un petit soleil.
Fripouille gonfla la poitrine, un peu intimidé mais flatté : jamais il n’avait porté un bijou aussi élégant.
— On dirait presque un prince, chuchota Kazie avec un sourire.
— Un prince maladroit, ajouta Lara en lui lançant un clin d’œil taquin.
Scarlett s’avança d’un pas, le museau haut :
— Très bien. Vous êtes inscrits officiellement. À présent… entrez, et laissez la Seine écrire vos destins.
Derrière elle, la péniche vibrait déjà des premières notes d’un orchestre de rue, tandis que des couples félins et canins dansaient doucement sous les guirlandes lumineuses.
La salle de bal resplendissait comme un écrin de luxe. Les colliers brillants des invités se reflétaient dans les lumières suspendues, donnant l’impression qu’un ciel étoilé s’était invité à l’intérieur.
De larges canapés aux motifs géométriques marron sur fond beige, garnis de coussins dorés et noirs, bordaient la salle. Entre chaque alcôve, de grands palmiers en pot ajoutaient une touche d’intimité feutrée. Les petites tables, nappées de beige finement brodé, étaient ornées de récipients ciselés où scintillaient de délicates gourmandises.
À l’entrée, un toast de bienvenue était servi à chaque félin et canin qui franchissait la porte, une coupe miniature de lait mousseux aux chats, un verre pétillant à base de volaille ou de bœuf pour les chiens. Les papilles s’éveillaient au rythme de la fête.
La musique, vive et entraînante, emplissait la salle. Un orchestre félin menait la cadence avec tambourins, contrebasse et violons, et déjà, les premières pattes se levaient pour suivre le rythme dynamique.
Une grande vitre séparait discrètement l’espace : d’un côté, le bal où les colliers scintillaient comme des constellations vivantes ; de l’autre, une zone réservée aux maîtres. Camille et Quentin s’y étaient installés, confortablement assis, leurs verres de champagne tintant sous la lumière dorée.
Fripouille observa, ébahi, tout semblait irréel, comme un rêve.
Il porta le collier doré numéro 4 au cou, marchait avec une allure maladroite mais fière. À ses côtés, Kazie, élégante avec son pendentif noir brillant numéro 3, jetait des coups d’œil curieux autour d’elle. Lara, la sœur au port altier, portait fièrement son numéro 8, sa démarche gracieuse lui valant déjà quelques regards admiratifs.
Scarlett, postée près d’un palmier, s’avança d’un pas assuré.
— Bienvenue, chers invités, miaula-t-elle avec ce ton hautain qu’elle maîtrisait si bien. Vous voilà parés pour une soirée… inoubliable.
Kazie leva les yeux au ciel, tandis que Fripouille se redressa encore plus, comme pour prouver qu’il n’avait pas peur de l’ex-chienne moqueuse.
La musique changea soudain : une valse légère, portée par un violon, envahit la salle. Les couples commencèrent à se former, félins et canins se mêlant dans une harmonie surprenante.
Fripouille resta figé, la queue tendue comme une corde.
— Oh non… pas une danse, marmonna-t-il. J’ai pas répété, moi !
— T’en fais pas, chuchota Kazie en riant. Suis juste le rythme. Et puis, tu crois que les chiens savent mieux danser ? Regarde celui-là, il marche déjà sur les pattes de sa cavalière !
Mais alors qu’il hésitait, une silhouette imposante s’approcha. Un chien lévrier, élégant, au collier argenté, s’inclina devant Kazie.
— Demoiselle numéro 3… m’accorderez-vous cette danse ?
Kazie jeta un coup d’œil amusé à Fripouille, puis accepta d’un signe de tête. Lara, de son côté, était déjà entourée de prétendants : un chartreux et un husky qui se disputaient son attention.
Scarlett fit claquer ses griffes sur le sol brillant, comme pour donner le signal. La musique se lança, une valse douce, portée par un violon.
Kazie et Lara dansaient avec leurs premiers partenaires, entourées de regards admiratifs. Fripouille, seul au milieu du parquet, sentit ses moustaches vibrer de panique.
Scarlett, qui n’avait rien perdu de la scène, s’approcha à pas feutrés.
— Alors, numéro 4… on tremble déjà ? Ou bien tu attends qu’une âme charitable vienne t’inviter ?
Fripouille ouvrit la bouche, prêt à répondre, mais une douce voix derrière lui le devança :
— Je crois que je vais m’en charger.
Il se retourna, surpris : une petite cocker au pelage brun doré, les yeux pétillants, se tenait là, un collier argenté autour du cou. Elle tendit une patte timide.
— Numéro 7, ylia enchantée.
Il dansait avec elle, d’un air timide.
Scarlett leva les yeux au ciel, amusée.
— Eh bien… que le bal commence.
Une fois que le slow, fût fini, Scarlett fit tinter la clochette dorée posée sur le pupitre.
— Mesdames et messieurs, félins et canins, que le destin amoureux fasse son travail ! 🎲
Elle plongea sa patte dans le grand vase de boules noires, toutes brillantes comme des perles.
— Le premier numéro mâle est… le 4 !
Fripouille sentit ses moustaches se hérisser. Tous les regards se tournèrent vers lui, il souriait à ylia, en étant désolé de la quitté si vite et de pas pouvoir faire plus connaissance avec elle, celle-ci lui souriait en retour, son collier doré scintillant sous les guirlandes lumineuses. Il inspira profondément et fit quelques pas, essayant de paraître digne.
Scarlett enchaîna avec le vase doré.
— Et la première élue… est le 6 !
Une chatte chartreuse, au pelage bleu-gris satiné, s’avança avec une grâce timide. Ses yeux jaunes fixèrent Fripouille, qui faillit trébucher mais s’efforça de bomber le torse.
— Voilà, mesdames et messieurs, annonça Scarlett d’une voix claire, notre premier duo de la soirée : le n°4 et la n°6 !
Un tonnerre de miaulements d’encouragements, quelques aboiements enthousiastes du côté canin, et la musique relança un air doux.
Fripouille avança maladroitement, salua la chartreuse d’une petite révérence un peu raide, puis l’accompagna sur la piste.
Scarlett sourit malicieusement :
— Voyez comme le hasard sait déjà marier les contrastes : le noir profond et le bleu-gris… Mystère et élégance réunis !
Fin partie 2
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✍️ Écrit : le 5 /09/25
👩🏼🎨 Barbara Wonder
📸 Léonardo.Ai et Canva par mes soins.

