

Pourvu que les secondes soient des heures
Dies ist der letzte Artikel, den du diesen Monat ohne Anmeldung lesen kannst.
Um die Begrenzung aufzuheben und alle neuen Funktionen nutzen zu können, log dich ein oder erstelle ein Konto, indem du auf den Link unten klickst. Alles ist kostenlos!
Einloggen
Pourvu que les secondes soient des heures
Petit tour en apesanteur. Il faut savoir rester léger...
On commence avec Vie Privée :
Pas si facile de décoller tout seul, il faut parfois un petit coup de pouce.
Vie Privée, Des mots, des mots, 1985.
On prend alors un peu de hauteur:
Afric Simone, Hafanana, 1976.
Pour finir par carrément s'envoler avec Gerry :
Gerry Rafferty, Baker Street, 1978.
Mais bien sûr tout ceci n'est pas réel, et comme dans un rêve, les choses finissent par se dérégler, se détraquer, et on finit comme dans un collage surréaliste, jambes coupées :
Norbert Alvil, Elle court, 1985.
(Ne me demandez pas où je vais chercher ces disques, comme les cueilleurs de champignons, j'ai mes coins, et ils restent secrets...)
Et on finit carrément la tête à l'envers, heureusement il y a le casque :
Space, Running In The City, 1977.

