Qui suis-je au fait ?
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Qui suis-je au fait ?
Papa, te souviens-tu de ton enfance ?
Sourd à ma voix, maintenant tu résides plus au 47 route de l’aber, né tête de granite, dans cette maison que nous avons habité, et nommée du nom du courant chaud, tempérant l’ardeur du climat Océanique : Le Gulf-Stream. Né au pays des abers, au Finistère Nord, le Léon. Cette terre est de pierre, et de sang, ceux des tailleurs d’édifice tel que le socle de l'Obélisque de Louksor, ce monument trônant, Capital, à Paris. Une carrière de ce diamant, révolver de notre sol, ton cœur tel le mien est taillé dans cette couleur de granite, mais pas seulement…
L’eau douce, coule, et déverse les larmes du ciel, sortant du bassin de Plabennec, pleine des richesses de la flore qui trône sur les flancs de nos “ribines” ces vieilles routes parfois de terre, qui ceinture cet estuaire, un Aber au nom du puissant Saint : Ildut. L’aber-ildut, ce lieu, est notre racine majeur, le berceau de notre généalogie, sans plus de logique que cela, notre cadeau divin, Atlantique Nord verse son destin dans notre bassin, le bas de nos reins, la mer d’Iroise, petit nom pleine de couleurs tendre, et pourtant, un Blockhaus caché par le temps y trône à l’entrée de notre Crapaud, une roche accueillant les pecnots tout comme les visiteurs de l’autre côté de l’horizon, l’outre-manche. Au décès de notre mère, j’ai vu la terre de nos ancêtres aller vers “Larret” dans les champs, à l’église né en 1786, nos veines de « l’Aberrois » sont peut-être sorti du champ de vers, pourriture, et engrais, j’imagine que nous sommes, de l’herbe grasse, ou de l’Aïl des ours, cette fleur comestible qui a bâti son siège si proche de notre mise en bière, notre verre je crois est maintenant des fleurs digestes… où mâchée par les vaches pie noir du coin, en processus d’évolution, un simple rouage, un petit maillon de la chaîne élémentaire, l’alimentaire.
Labellisé en l’an 1991 pour la qualité de son patrimoine architectural, les vestiges archives du temps de cette commune rurale se voient du haut des falaises…
Ainsi, au lieu dit “Kervezen” en suivant les pas des chiens promenés par leur maître, des baladeurs du coin, des habitants du village, et aussi de curieux visiteurs, admirez le pays sage, le paysage.
Attention respiration, expiration, sans longue vu vous avez derrière le monument du coin, le Lieu, une tourelle marquant un espace dangereux, de roches, d’une pierre socle déposé par les moyens du bords, ceux des hommes et du savoir des bâtisseurs de l’époque, cette marque maritime guidant, aidant les bateaux à entrer et s’aligner sur la ligne tracé sur les cartes marines par le phare, bas et blanc aux yeux rouges du port de l’Aber-Ildut, là où le balisage maintenant, vous aide à dépasser le rocher du Crapaud, ce plongoir des adolescents que je fus aux défuntes années 50, et adultes kamikazes, nous tous nous plongions, sans drame, sans âge, nous nous jetions à l’eau, avant de se la jouer tournedos sur les serviettes, bronzer sous la couverture de nuages, ou au soleil flambant neuf. Années folles.
Enfin n’ayez pas le vertige, de zéro à dix mètres de hauteur, ce sont des restes, le zeste de montagnes de jadis, un temps absolument révolu, aujourd’hui par l'érosion, le vent, la pluie et le travail de l’Humanité, l’extraction de la pierre pas grise, le trône offre un spectacle Naturel certain aux certains amoureux du coin, de la lueur des yeux de la mer, de la vu splendide de jour comme de nuit de Ouessant, et ses phares, l’Ourse, et Orion. Ne perdons pas de vu le sujet de cette lettre, des bras, du rhum, des amas de pierres, une carrière auprès des restes de ce ‘Rocher Rose’ communément appelé à l’époque “Granite de Brest”, elle, cette ville, et son joyaux le château dominant la Penfeld ce fleuve qui alimente les rades, Nord et Sud de la ville, de leurs sédiments ramassés au passage par sa longue distance de traversée par un bois, de feuillus, majestueuses couleur végétale, et senteur de cette forêt humide, Le château qui a résisté au bombardement de la ville était une place forte, avant le débarquement des conflits divers et variés que je ne citerais pas…
Car ceci n'étant point le propos, ce texte ne se veut pas guerrier. Je note, et digresse cependant que la vaste et sombre demeure, le château fort, nous protégeant nous les brestois et les passants de passage, il fut habitée par des filles de joies, et pas que, par l’axe de défense de la France, la marine nationale.
Pardon, je vous invite à traverser les siècles, par la magie de lettres noires et blanches, et de refaire une succincte histoire de ce village, l’Aber-Ildut, cet endroit pas à l’envers de moins de mille âmes, à mille lieux d’être connu des touristes du monde étranger, je pense aux guépards de Tanzanie, et autres hurluberlus exotiques les Humains ayant à porté d’yeux, pas l’île au large de Noirmoutiers, plage et une ceinture d’arbres. Oui, je n’invente pas mes racines, je les découvre en écrivant cette lettre à la mer, lui s’étant noyé sur notre plage commune de nos enfances. Oui, j’aimerai tenter d’évoquer de traduire sans couleur, ni l’odeur du varech, froid et humide, ou séché par le dieu Soleil, les algues laminaires et autres confrères, des mirages du plancton donnant du l’effet turquoise à l’Iroise, ses végétaux maritime si nombreux à peupler la mer, nourricière, et « Enfanteure » à ses heures perdu de la vie, le goémon, ce limon très récolté dans cette région. J'ose rêver vous inviter dans cet ersatz de décor avant d’entrer dans l’architecturale manifeste du divin créateur, peintre à ses heures, d’harmonieuses couleurs et du son, végétal, animal, faisant mal à certains, vomissant à la bonne heure ( je connais !) et puis aussi certaines roches remarquable, par aussi un autre facteur X, un autre élément, tel que le rocher du Sphinx sculpté par la brutalité Océane les jours de vent, venant de tous secteurs, ce site magique, et unique par sa position stratégique ainsi le passage du four, les reste vagues qui déroulent parfois sur l’estran recouvert par les sept mètre de marnage du port, Le port de l'aber-ildut est source de convoitise, en eau profonde, à l'abri des vents de tous secteurs, et aussi ce sont pas moins de 91 bateaux qui arpentent l'eau, et l'océan mystère, de la mer d'Iroise, feu vert allumé par vent calme, grisaille assumée par vent de nord-ouest, ou le Nord-est, des couleurs et du vent de tous les secteurs, des marées, un lieu remplie de roches, et la tourelle en pierre de taille, de l'Aber, tout comme le Rumorvan, cette rue de maître de barque, des battisses invisible derrière des murs, sauf si vous êtes un coléoptère, un papillon, une abeille....
Je connais une maison construite sur les dunes qui donne du sang à Ouessant, un corps de ferme, les bâtisseurs l'ont faites en « L » ou un « L » monté à l'envers ; l'angle majeur celui qui reçoit la violence des vents d’hivers se trouve être un angle parfaitement posté au Sud-ouest, ainsi les vents de Suroît touche cette angle et apaisent les fenêtres de ce bout de granite sur un flanc de dune protégé par des talus... la cheminée flambe sont bois vert ; et retient par les bois choisis de la chaleur dans la maison, l'été, des portes-fenêtres ouvrent le balais du voyage sur un décors de rêve, ensorcelant à souhait, les bâtisseurs de l'Aber-Ildut ne posaient pas une pierre taillée au fruit du hasard, la construction de ce lieu unique au point de vu géologique, une trace de granite Rose érigé face au vide Océan Atlantique Nord, reste les restes par ce rocher Rose, du traditionnelle travail des tailleurs de pierre, dans une carrière. Rude savoir faire, et un métier difficile restant aujourd’hui le charme des villages bordant la ville de Brest, les pays des abers et la route touristique menant vers Portsall donne du plaisir aux lutins de services et aussi à tout ce qui touche le cœur des habitants, des ruraux, comme ceux des touristes…
Mort, mon papa, je pense à nos jours heureux, et aussi lorsqu’à seize ans, gentillement, tu m'invites à quitter la maison afin de travailler. Un petit peu avant le drame de notre notre vie, nous tes enfants, ce dernier bain d’eau de mer, où sans rien dire tu partis sans effusion, de sang, asphyxie, baignade nocturne, tu partis, notre cher papa rejoindre la cime du ciel, noyé ton âme est devenir un bateau. Un voilier dans le ciel, qui se promène là tout là-haut, une entité céleste. Je sais que c’est toi, papa, me parlant encore, dans mes rêves, ou cauchemare tu me narres la vie de nos ancêtres, dans le noir de ma cervelle ballade, car j’ai comme une musique douce au coeur de la cervelle, et mes nuits sont bizarres, comme colorée par l’ère du tempos du temps. Je voyage, en vie réelle, et je voyage en mode technicolore dans la roue du temps, accompagné d’un savoir ancestrale, moi qui ne suis pas allé bien loin à l’école, sauf lorsque j'embarque sur un voilier, un vieux gréement battre la campagne, ou faire campagne, sur l’Océan, port d’attache de Camaret sur mer, le lieu où j'embarque sur un langoustier, le bien nommé, la “Petite folie, je raconte, cette histoire, tout ce que je note dans ce cahier provient de ma liberté altérée par mon métier de jeune pêcheur, moi, ayant l’âge maintenant de sombrer à mon tour dans le grand ailleurs, celui de la liberté de l’âme, le dernier et le plus grand des voyages, celui de l’âme. Installez-vous messieurs, dames, ou mesdemoiselles, dans ce récit de vie, ce parcours de ma vie, l'initiation à l'élévation de l’esprit, le grand esprit, pas si Saint pour autant...
***
Mon petit nom, mon prénom est Renan, comme le Saint Renan, il dut être illustre, j’ai habité pas loin de ce village, où l’on voit des cygnes, des canards, et des goélands, de nos jour, pas encore arriver dans le second millénaire, selon la loi du temps organisée par l’humanité qui sont d’accord sur un fait, Jésus de Nazareth à existait, et fut ressuscité, fils du divin créateur, communément appelé dieu depuis qu’il est unique. Or ma vie s'est déroulée de 1939 le 5 du mois d'août à nos jours… Je n’ai pas grand chose à rappeler sur mes jeunes années, celle de mes voyages dans l'innocence de l’enfance, je sais que j’ai deux traits de caractères forts, la joie, et la colère me possèdent. Attention, stop ! J’ai nullement envie de nombrilisme, la société actuelle l’ait, je veux juste être un témoins de mon époque. l’après guerre, et ce voyage dans ma tête, les pieds bien posé quand mon sac de marin, mon ballot de navigateur, jeune mousse sur un voilier né comme moi, même année, hasard ou fruit de la coïncidence, nul ne le sait, alors entrons dans cette époque, celle de mes seize ans, où je vais avoir et voir une parcelle des secrets de la planète Terre. Non, je ne suis pas une lumière, juste un témoin ordinaire, de la notion inutile à comprendre, le temps qui passe et nous dépasse, qui que vous soyez, une poule de six mois, ou un renard de campagne. Parfois, sur l'océan de mes pensées, je me suis senti dauphin sauveteur à ses heures de gloire, dans les turbulences de mes vingt ans, le bel âge aussi… Trêve de digression, Roger, mon papa, m'a mis à la porte pour nourrir le reste de ma fratrie,étant l’aîné, j’ai deux frères et trois sœurs, comme tous les aînés je me sens responsable d’eux, et j’aime regarder leur sourire entre quatre yeux. Qui n'aime pas les sourires ? Les psychopathes !
Où vous qui avait par miracle ouvert ce cahier de ma mémoire qui flanche, je témoigne par mes mots de mes maux, de mes plaisirs, de mes loisirs, et aussi de ce réel aux forme et aspects divers, surgissant par magie dans mon cortex, la loi pas si comique de ma différence, celle cosmique, le regard cosmique de rêver en technicolore, et de me souvenir de mes rêveries sur l’estran de ma mémoire, j’ai le temps qui se défile à la vitesse du vent, ou du ventre si vous avez faim, ainsi que la soif de savoir ce que j’ai à dire. Poursuivons, sans trop s'éparpiller, je disais quelques lignes plus haut que je suis un marin pêcheur de langouste ; la pêche dans le golfe de Gascogne, celle de la langouste sous les îles Canaries. J’aime naviguer, et je n’aime pas les mauvais mots, les noms d’oiseaux, et j’ai le regard d’aigle ou d'albatros, un bleu gris d’acier, sensible et voyant loin. ça ne m’épate pas de savoir que certaines personnes au lieu de viser la lune de l’introspection, se retournent contre le voisinage et ont la critique facile. Le village de l’Aber-Ildut, sur cette courte échelle de zéro à seize m’a permis de comprendre ce que recèlent les deux facettes des discothèques, celle de nos deux visages, nos deux faces, c’est pile pas la pièce que l’on lance dansant en toupie sur elle même… Non, il s’agit en métaphore de l’image de notre part d’ombre et de lumière, comme la photographie. Je ne suis pas écrivain, juste l’auteur de ma biographie, et je n’invente rien, mes lignes sont du réel, celle de la vie d’un jeune homme devenu, un chef de famille, dans ce cahier naissant de jours en jours, vous y trouverez, un ersatz de témoignage, celle de ma vie, car je tiens à laisser une trace à mes enfants et les petits à venir… Roger, mon papa fut prévoyant pour les dernier nés de ma fratries, bien que les récoltes furent bonne l’année de mes seize année pleine, lune haute, et révolution solaire bien née, les champs donnaient de belles pommes de terre, des oignons, des navets, des betteraves et même de melon, liste non exhaustive…
Bravo. L’ère, et l’air avaient bon ton, nous jouions le vent de suroît dans les cheveux, les chevaux se parkaient devant le commerce de mon grand-père, ils avaient assez de foin, et leur bouses, leur déjections nourrissent d’engrais nos campagnes. Rien à voir cette année-là, avec l’en de 1954 où on crevait de faim, rien ne voulait pousser dans les champs, mais notre aber donnait du bouquet de la crevette rose, bien née… C’est Suzanne, notre maman qui allait cherchait la denrée rare, elle se promenait tranquillemnt à son rythme dan sla vase, et fouilalnt les roches, les trous, elle avait toujours son sa de Kig ha Farz pour rammasser, le vibrant et bruillant bouquet, ces crevettes rares et folles qui sautainet dans notre casserole vers quatre heure, à l’heure de notre coupe faim, là, ou nous nous retrouvions tous les six, à table les enfants de la famille. Je me souviens parfaitement de mon tête à nez, notre tête à tête, papa fut très sérieux, il n’avait plus sa lueur joyeuse dans son regard, ses yeux étaient remarquables par l’enjeu de ce jour, ce jour J, celui de mon anniversaire, il me dit :
Mon petit nom, mon prénom est Renan, comme le Saint Renan, il dut être illustre, j’ai habité pas loin de ce village, où l’on voit des cygnes, des canards, et des goélands, de nos jour, pas encore arriver dans le second millénaire, selon la loi du temps organisée par l’humanité qui sont d’accord sur un fait, Jésus de Nazareth à existait, et fut ressuscité, fils du divin créateur, communément appelé dieu depuis qu’il est unique. Or ma vie s'est déroulée de 1939 le 5 du mois d'août à nos jours… Je n’ai pas grand chose à rappeler sur mes jeunes années, celle de mes voyages dans l'innocence de l’enfance, je sais que j’ai deux traits de caractères forts, la joie, et la colère me possèdent. Attention, stop ! J’ai nullement envie de nombrilisme, la société actuelle l’ait, je veux juste être un témoins de mon époque. l’après guerre, et ce voyage dans ma tête, les pieds bien posé quand mon sac de marin, mon ballot de navigateur, jeune mousse sur un voilier né comme moi, même année, hasard ou fruit de la coïncidence, nul ne le sait, alors entrons dans cette époque, celle de mes seize ans, où je vais avoir et voir une parcelle des secrets de la planète Terre. Non, je ne suis pas une lumière, juste un témoin ordinaire, de la notion inutile à comprendre, le temps qui passe et nous dépasse, qui que vous soyez, une poule de six mois, ou un renard de campagne. Parfois, sur l'océan de mes pensées, je me suis senti dauphin sauveteur à ses heures de gloire, dans les turbulences de mes vingt ans, le bel âge aussi… Trêve de digression, Roger, mon papa, m'a mis à la porte pour nourrir le reste de ma fratrie,étant l’aîné, j’ai deux frères et trois sœurs, comme tous les aînés je me sens responsable d’eux, et j’aime regarder leur sourire entre quatre yeux. Qui n'aime pas les sourires ? Les psychopathes !
Où vous qui avait par miracle ouvert ce cahier de ma mémoire qui flanche, je témoigne par mes mots de mes maux, de mes plaisirs, de mes loisirs, et aussi de ce réel aux forme et aspects divers, surgissant par magie dans mon cortex, la loi pas si comique de ma différence, celle cosmique, le regard cosmique de rêver en technicolore, et de me souvenir de mes rêveries sur l’estran de ma mémoire, j’ai le temps qui se défile à la vitesse du vent, ou du ventre si vous avez faim, ainsi que la soif de savoir ce que j’ai à dire. Poursuivons, sans trop s'éparpiller, je disais quelques lignes plus haut que je suis un marin pêcheur de langouste ; la pêche dans le golfe de Gascogne, celle de la langouste sous les îles Canaries. J’aime naviguer, et je n’aime pas les mauvais mots, les noms d’oiseaux, et j’ai le regard d’aigle ou d'albatros, un bleu gris d’acier, sensible et voyant loin. ça ne m’épate pas de savoir que certaines personnes au lieu de viser la lune de l’introspection, se retournent contre le voisinage et ont la critique facile. Le village de l’Aber-Ildut, sur cette courte échelle de zéro à seize m’a permis de comprendre ce que recèlent les deux facettes des discothèques, celle de nos deux visages, nos deux faces, c’est pile pas la pièce que l’on lance dansant en toupie sur elle même… Non, il s’agit en métaphore de l’image de notre part d’ombre et de lumière, comme la photographie. Je ne suis pas écrivain, juste l’auteur de ma biographie, et je n’invente rien, mes lignes sont du réel, celle de la vie d’un jeune homme devenu, un chef de famille, dans ce cahier naissant de jours en jours, vous y trouverez, un ersatz de témoignage, celle de ma vie, car je tiens à laisser une trace à mes enfants et les petits à venir…
Mon petit nom, mon prénom est Renan, comme le Saint Renan, il dut être illustre, j’ai habité pas loin de ce village, où l’on voit des cygnes, des canards, et des goélands, de nos jour, pas encore arriver dans le second millénaire, selon la loi du temps organisée par l’humanité qui sont d’accord sur un fait, Jésus de Nazareth à existait, et fut ressuscité, fils du divin créateur, communément appelé dieu depuis qu’il est unique. Or ma vie s'est déroulée de 1939 le 5 du mois d'août à nos jours… Je n’ai pas grand chose à rappeler sur mes jeunes années, celle de mes voyages dans l'innocence de l’enfance, je sais que j’ai deux traits de caractères forts, la joie, et la colère me possèdent. Attention, stop ! J’ai nullement envie de nombrilisme, la société actuelle l’ait, je veux juste être un témoins de mon époque. l’après guerre, et ce voyage dans ma tête, les pieds bien posé quand mon sac de marin, mon ballot de navigateur, jeune mousse sur un voilier né comme moi, même année, hasard ou fruit de la coïncidence, nul ne le sait, alors entrons dans cette époque, celle de mes seize ans, où je vais avoir et voir une parcelle des secrets de la planète Terre. Non, je ne suis pas une lumière, juste un témoin ordinaire, de la notion inutile à comprendre, le temps qui passe et nous dépasse, qui que vous soyez, une poule de six mois, ou un renard de campagne. Parfois, sur l'océan de mes pensées, je me suis senti dauphin sauveteur à ses heures de gloire, dans les turbulences de mes vingt ans, le bel âge aussi… Trêve de digression, Roger, mon papa, m'a mis à la porte pour nourrir le reste de ma fratrie,étant l’aîné, j’ai deux frères et trois sœurs, comme tous les aînés je me sens responsable d’eux, et j’aime regarder leur sourire entre quatre yeux. Qui n'aime pas les sourires ? Les psychopathes !
Où vous qui avait par miracle ouvert ce cahier de ma mémoire qui flanche, je témoigne par mes mots de mes maux, de mes plaisirs, de mes loisirs, et aussi de ce réel aux forme et aspects divers, surgissant par magie dans mon cortex, la loi pas si comique de ma différence, celle cosmique, le regard cosmique de rêver en technicolore, et de me souvenir de mes rêveries sur l’estran de ma mémoire, j’ai le temps qui se défile à la vitesse du vent, ou du ventre si vous avez faim, ainsi que la soif de savoir ce que j’ai à dire. Poursuivons, sans trop s'éparpiller, je disais quelques lignes plus haut que je suis un marin pêcheur de langouste ; la pêche dans le golfe de Gascogne, on traverse ce Golfe dans des turbulences parfois dantesque, avant de poser nos lignes de casiers pour cueillir et accueillir les belles vertes langoustes, sous les îles Canaries. J’aime naviguer, et je n’aime pas les mauvais mots, les noms d’oiseaux, et j’ai le regard d’aigle ou d'albatros, un bleu gris d’acier, sensible et voyant loin. ça ne m’épate pas de savoir que certaines personnes au lieu de viser la lune de l’introspection, se retournent contre le voisinage et ont la critique facile. Le village de l’Aber-Ildut, sur cette courte échelle de zéro à seize m’a permis de comprendre ce que recèlent les deux facettes des discothèques, celle de nos deux visages, nos deux faces, c’est pile pas la pièce que l’on lance dansant en toupie sur elle même… Non, il s’agit en métaphore de l’image de notre part d’ombre et de lumière, comme la photographie. Je ne suis pas écrivain, juste l’auteur de ma biographie, et je n’invente rien, mes lignes sont du réel, celle de la vie d’un jeune homme devenu, un chef de famille, dans ce cahier naissant de jours en jours, vous y trouverez, un ersatz de témoignage, celle de ma vie, car je tiens à laisser une trace à mes enfants et les petits à venir…
Mon petit nom, mon prénom est Renan, comme le Saint Renan, il dut être illustre, j’ai habité pas loin de ce village, où l’on voit des cygnes, des canards, et des goélands, de nos jour, pas encore arriver dans le second millénaire, selon la loi du temps organisée par l’humanité qui sont d’accord sur un fait, Jésus de Nazareth à existait, et fut ressuscité, fils du divin créateur, communément appelé dieu depuis qu’il est unique. Or ma vie s'est déroulée de 1939 le 5 du mois d'août à nos jours… Je n’ai pas grand chose à rappeler sur mes jeunes années, celle de mes voyages dans l'innocence de l’enfance, je sais que j’ai deux traits de caractères forts, la joie, et la colère me possèdent. Attention, stop ! J’ai nullement envie de nombrilisme, la société actuelle l’ait, je veux juste être un témoins de mon époque. l’après guerre, et ce voyage dans ma tête, les pieds bien posé quand mon sac de marin, mon ballot de navigateur, jeune mousse sur un voilier né comme moi, même année, hasard ou fruit de la coïncidence, nul ne le sait, alors entrons dans cette époque, celle de mes seize ans, où je vais avoir et voir une parcelle des secrets de la planète Terre. Non, je ne suis pas une lumière, juste un témoin ordinaire, de la notion inutile à comprendre, le temps qui passe et nous dépasse, qui que vous soyez, une poule de six mois, ou un renard de campagne. Parfois, sur l'océan de mes pensées, je me suis senti dauphin sauveteur à ses heures de gloire, dans les turbulences de mes vingt ans, le bel âge aussi… Trêve de digression, Roger, mon papa, m'a mis à la porte pour nourrir le reste de ma fratrie,étant l’aîné, j’ai deux frères et trois sœurs, comme tous les aînés je me sens responsable d’eux, et j’aime regarder leur sourire entre quatre yeux. Qui n'aime pas les sourires ? Les psychopathes !
Où vous qui avait par miracle ouvert ce cahier de ma mémoire qui flanche, je témoigne par mes mots de mes maux, de mes plaisirs, de mes loisirs, et aussi de ce réel aux forme et aspects divers, surgissant par magie dans mon cortex, la loi pas si comique de ma différence, celle cosmique, le regard cosmique de rêver en technicolore, et de me souvenir de mes rêveries sur l’estran de ma mémoire, j’ai le temps qui se défile à la vitesse du vent, ou du ventre si vous avez faim, ainsi que la soif de savoir ce que j’ai à dire. Poursuivons, sans trop s'éparpiller, je disais quelques lignes plus haut que je suis un marin pêcheur de langouste ; la pêche dans le golfe de Gascogne, celle de la langouste sous les îles Canaries. J’aime naviguer, et je n’aime pas les mauvais mots, les noms d’oiseaux, et j’ai le regard d’aigle ou d'albatros, un bleu gris d’acier, sensible et voyant loin. ça ne m’épate pas de savoir que certaines personnes au lieu de viser la lune de l’introspection, se retournent contre le voisinage et ont la critique facile. Le village de l’Aber-Ildut, sur cette courte échelle de zéro à seize m’a permis de comprendre ce que recèlent les deux facettes des discothèques, celle de nos deux visages, nos deux faces, c’est pile pas la pièce que l’on lance dansant en toupie sur elle même… Non, il s’agit en métaphore de l’image de notre part d’ombre et de lumière, comme la photographie. Je ne suis pas écrivain, juste l’auteur de ma biographie, et je n’invente rien, mes lignes sont du réel, celle de la vie d’un jeune homme devenu, un chef de famille, dans ce cahier naissant de jours en jours, vous y trouverez, un ersatz de témoignage, celle de ma vie, car je tiens à laisser une trace à mes enfants et les petits à venir…
— “ viens, petit, Renan montons au grenier !”
il avait l’air triste, cependant, comme j’adorais aller au grenier et rare étaient les rendez-vous tête à tête, sans mots dire, je parcouru le chemin qui gagnait l’escalier de bois aux senteurs d’alcool, et de cire, nous accédions au plafond de notre maison du 45 route de l’aber, et ma chambre à lire les opus datant de la guerre comme ce “petit prince” de l’auteur aviateur Saint exupéry, entre autre, ah il fleurait bon la poussière et les souris riait aux lunes clairvoyantes, elles gambadent si je lisais un livre dans le dédale des pierres mortes et les bactéries et autre congénères de la charpente hantait le lieu d’un certain mystère, alors, en grimpant les marches quatre à quatre, je souriais, pas conscient de vivre mes dernières heures de l’adolescence... Pas de chance, être un fruit tendre est un cadeau du ciel.