On peut toujours détourner, des slogans ou des propos (schizophréniser en ce sens, disons dissocier) en extrayant des mots de leurs contextes etc. ; c'est une tactique et c'est parfois de bonne guerre : et la guerre se poursuit puisque la Censure continue. Ils le font bien, eux : ce reste qui exerce encore de la pression pour taire, faire taire : cette mafia coronavirienne. Je dis cela (au tout début, en début de phrase) parce que l'image que j'emprunte à Morning Brew (6 octobre dernier) est associée à la bataille légale (le contraire d'une mafia, puisque c'est de loi dont il s'agit : de contentieux, de litige, de différend etc.) qui oppose toujours (même si la fin se fait proche) E. Musk à Twitter concernant le rachat de ce réseau social, et on sait l'importance de la CENSURE sur les réseaux sociaux, de l'IMPOSTURE peut-être moins. Mais la question de la chimie (drogue légale et illégale), du médicament et de la médicamentation, du contrôle et du marché, cette question dès lors qu'elle est associée à ce X ou grande inconnue nous ouvre les portes d'un espace non contesté et donc non dit : le lien du COVID19 ou nom de code ou d'opération est clair car c'est aussi le nom de la CENSURE avec tous les thèmes que comporte le MYTHE (narrative) de ce virus inventé de toutes pièces, circonstantiellement ou stratégiquement : négation d'une possible immunité naturelle, récriture du code génétique dit ADN, etc. etc. et silenciation de la vérité et de la science en l'occurrence (vérité scientifique, données naturelles) soit persistance de la censure en ce qui concerne le dossier coronavirus qui ne peut que relever (s'il est un dossier de dossier, chemise au sens concret ou pratique du terme) de que nous appelons LE GROS MENSONGE (The BIg Lie) ou plutôt le sacré mensonge soit un défi transgessif aux valeurs humaines (aux valeurs et pas qu'aux faits, ce qui est encore plus grave).

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Ils peuvent toujours intimider ou feindre, faire barrage ou empêcher, différer ou retarder, la parole (speech act as free speech) se libère en échos ; et les échotiers de toute sorte savent écrire. Commençons par unez 'Newsletter' du 2 octobre dernier, celle de The Conversation sur "COVID mandatory isolation scrapped". C'était une Une, pour dire comment et combien l'isolement fasciste (confinements hygiénistes) ou atomisation du corps social a été inefficace et que la honte de cette fourberie se traduit aujourd'hui pa