J'emprunte cette image à Pressenza (2-09-2022) qui sait attirer le regard ou mettre le focus où il faut c'est-à-dire ne pas se laisser berner à du show y compris quand il n'est pas propagandiste. La presse américaine est très focalisée, c'est compréhensible, sur le monstrueux et impudent Trump; quoique : peut-être moins depuis peu. Mais, de toute façon, un homme de paille - un décoloré, quand même - ne tient pas tout seul et la MAFIA qui l'a fait (placé) et qui le fait, c'est-à-dire qui le tient, est elle en question. Le terme de mafia a une extension assez large de sens ou de signification, disons qu'il renvoie à tout ce qui contredit ou travaille contre l'Etat de droit, et qui ne le fait qu'en douce c'est-à-dire dans l'ombre et/ou sans s'exprimer avec des mots et en articulant donc en recourant à l'ambivalence et aux images (le show n'est donc pas l'idéal en la matière, s'il en est un...) : vous comprenez que la question de l'ESPIONNAGE et du CONTRE-ESPIONNAGE (et là, dans les deux cas, on tue qui révélerait ou saurait) soit une question ultra-sensible c'est-à-dire que, de fait ou forcément, tout ce qui relève des SERVICES SECRETS, RENSEIGNEMENTS et CONTRÔLE DE l'INFORMATION s'inscrit dans cette criminalité-là dont il n'y a aucune raison que le nom de Trump (encore une fois, il n'y a pas d'affaire Trump mais il y a une affaire américaine, et la question covid en fait partie ; il y a une conspiration criminelle, séditieuse... à quoi son nom est associé...) ne soit pas un prê