L'image du jour est prise à The Epoch Times, elle est bien cette image, je crois, parce qu'elle illustre, une fois de plus ou mieux que les autres fois peut-être, ce bicolorisme traditionnellement sexué ou sexualisant qui est assigné à la naissance : un garçon, une fille. Bref, elle illustre ou révèle, fait émerger le problème de cette invention mégalomaniaque ou escroquerie de taille qu'est le virus mortel dit Corona (une question de pouvoir) dont la dangerosité planétaire ou mondiale aurait immobilisé tout le monde, jusqu'à, peut-être, avoir le temps ou se le donner (le temps presse pour cette mafia), gagner du temps, celui de dissimuler ce qui appartient forcément à un DOSSIER ultra sensible parmi ceux que Trump a volés et qui fait dire aujourd'hui au DOJ (mais pas qu'à eux) qu'il a même dérobés d'autres dossiers que ceux retrouvés dans sa riviera floridienne. Les nouvelles toutes récentes montrent maintenant l'ex-locataire de la Maison Blanche (interdit de séjour pour toujours en cette demeure) non seulement comme un menteur invétéré, pathologique même quand ce n'est pas tactique (un mensonge + un mensonge + un mensonge plus gros que le précédent et ainsi de suite),  (et sur quoi porte donc The Big Lie ?) mais aussi comme un fou dont la mégalomanie est synonyme de no limit, d'un au-delà qui ne peut qu'égaler une forfanterie type grand banditisme. Les lignes n'existent plus, a fortiori les lignes rouges non plus .... Donald s'est mis hors jeu, et, coup de son sort à lui, il ne peut plus mentir (passage à la mégalo, sorte de démence) : eh oui, il ne peut plus, il se trahit. Un mensonge, même énorme (quel qu'il soit : nous verrons pour ce GROS MENSONGE dont on parle depuis pas mal de temps), ne dure pas ; contrairement à la vérité qui n'a pas besoin, elle, d'artifice : mentir, nier, dire le faux suppose le vrai, etc etc.

C'est encore une fois l'émission "The Last Word" (MSNBC, 11-10-2022) qui met en relief cette mégalomanie devenue (faite) AVEU, avec ce savoir-faire de Lawrence O'Donnell qui se satisfait pleinement à analyser à l'antenne comment Trump ne comprend manifestement pas ce que veut dire parler, énoncer, ce Bêta ne sachant pas ce qu'il dit, qui ne réalise pas ce qu'il dit jusqu'à se mettre tout seul dedans, pour le dire vulgairement. Le journaliste est en effet tout sourire, avec reporté à l'écran