Félicitations ! Ton soutien à bien été envoyé à l’auteur
Arts
En 2022, une collection d’art moderne en plein Rouergue

En 2022, une collection d’art moderne en plein Rouergue

Publié le 12 janv. 2021 Mis à jour le 12 janv. 2021 Artisanat
time 2 min
CREATIVE ROOM

Arts

Accueil
0
J'adore
0
Solidaire
0
Waouh
thumb 0 commentaire
lecture 143 lectures
0
réaction

Sur Panodyssey, tu peux lire 30 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 29 articles à découvrir ce mois-ci.

Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit ! Se connecter

En 2022, une collection d’art moderne en plein Rouergue

En 2022, une collection d’art moderne en plein Rouergue

Au printemps de l'année prochaine, l’abbaye de Beaulieu, dans le Tarn-et-Garonne, appartenant au CMN, accueillera la collection Bonnefoi-Brache : un millier d’œuvres d'artistes de l’après-guerre, de Dubuffet à Fred Deux, de Michaux à Hantaï.

La signature apposée ce 8 janvier par Geneviève André-Acquier, exécutrice testamentaire de Geneviève Bonnefoi, et Philippe Bélaval, président du Centre des monuments nationaux, est l’aboutissement d’un processus de plus d’un demi-siècle. En acceptant ce legs, le Centre des monuments nationaux donne le coup d’envoi d’un projet qui va faire naître, dans le cadre enchanteur d’une abbaye cistercienne, à Beaulieu-sur-Rouergue, entre Montauban et Villefranche-de-Rouergue, un musée d’art moderne et contemporain. 

                                              Un couple passionné

À l’horizon 2022, sur environ 1000 m2, dans 19 salles du logis abbatial (bâti aux XVIIe et XVIIIe siècles), c’est-à-dire les salons, le réfectoire et les cellules, on pourra voir par roulement une partie du millier d’œuvres données. Celles-ci comprennent des artistes que l’on a commodément réunis sous le nom d’École de Paris (Poliakoff, Hantaï, Vieira da Silva, etc.) et d’autres, inclassables, comme Fred Deux, Frédéric Benrath ou Claude Viseux. C’est cependant l’ensemble qui, comme dans le cas de la Donation Cligman à Fontevraud (sur laquelle nous reviendrons dès son ouverture), fait sens. Il traduit en effet les goûts d’un couple de collectionneurs qui a suivi pendant un demi-siècle l’art en train de se faire dans le Paris de l’après-guerre. La personnalité motrice est Geneviève Bonnefoi, décédée en 2018 à l’âge de 97 ans, journaliste et critique d’art (à CombatFrance-Observateur, aux Lettres nouvelles de Maurice Nadeau ou chez nos confrères de Connaissance des Arts), secondée par son mari, Pierre Brache, décédé en 1999, administrateur d’entreprises comme Fauchon ou la Tour d’argent, qui sera à la fin de sa vie secrétaire général de la société des amis du musée national d’Art moderne.

lecture 143 lectures
thumb 0 commentaire
0
réaction

Commentaire (0)

Tu peux soutenir les auteurs indépendants qui te tiennent à coeur en leur faisant un don

Prolonger le voyage dans l'univers Artisanat
Je suis résilient
Je suis résilient

  Lorsque j'écris, je me coupe du monde, autant que possible. Parce que le monde est une distraction. Mon...

Oren Le Conteur
1 min
Je suis jardinier
Je suis jardinier

  Après mes deux recueils poétiques, j'ai voulu essayer autre chose. J'ai pas mal de débuts...

Oren Le Conteur
2 min
Interview 🎙️✨
Interview 🎙️✨

Une fois n'est pas coutume... Une interview sur mon parcours et mon travail ! 🫣🎥  

Jérôme Pace
1 min

donate Tu peux soutenir les auteurs qui te tiennent à coeur