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CHRONIQUE DU TRAVAIL CONFINÉ (#13)

CHRONIQUE DU TRAVAIL CONFINÉ (#13)

Publié le 3 mai 2020 Mis à jour le 29 sept. 2020 Entrepreneuriat et start-up
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CHRONIQUE DU TRAVAIL CONFINÉ (#13)

Delphine, directrice Learning & Development corporate

 

« C’est fou comme en très peu de temps, tout le monde s’est approprié les outils numériques. Dans le village où j’habite, je connais plein de gens qui ne touchaient jamais à un ordinateur, et qui maintenant, organisent des apéros virtuels. Idem au sein de mon équipe. C’est intéressant de voir à quelle vitesse on s’est tous auto formé.

Tout ça, ça va impacter les modalités de formation. Je fais partie d’un Club de responsables formation des entreprises du CAC 40 : on réfléchit à introduire beaucoup plus de distantiel dans la formation (mixé avec un peu de présentiel. On inverse la tendance).

Au siège, on est tous au chômage partiel. Au moment du confinement, les RH ont eu 3 jours pour décider qui était à 50 ou 100 %. Fin avril, ils vont redéfinir les taux pour mai, en introduisant deux nouveaux seuils : 20 et 80%. C’est très dur psychologiquement, de se dire qu’on ne peut travailler qu’un jour par semaine. On a mis en place une cellule psychologique pour accompagner les salariés, une ligne d’écoute si besoin.

Pour ma part, je suis à 50%. Je travaille tous les matins, de 9 heures à 13 heures, et comme tous les salariés en activité partielle, j’ai interdiction formelle de me connecter après 13 heures. C’est compliqué parce que pas mal de mes interlocuteurs sont à 100%. Quand ils m’envoient un mail le matin, si je ne peux pas leur répondre, tout de suite, il faut qu’ils attendent le lendemain. Heureusement, ils comprennent.

Tous les jours, j’organise un call de 30 minutes avec mon équipe. On prend des nouvelles. On parle de tout et de rien. On est en visio toutes les quatre, ça fait du bien au moral. Même malade je l’ai maintenu. »

 

 

 

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